Bonsoir Brise-copeaux, bonsoir à tous,
non tu n'es pas nul puisqu'on t'avait tous compris. C'est simplement plus facile à retenir quand on sait l'origine du nom du procédé (enfin, c'est mon avis, et dans ce cas, plus moyen de se tromper). Et puis, quand quelqu'un accepte qu'on le corrige, c'est que son esprit est encore ouvert au changement et que sa vie doit être une suite de découvertes tous les jours, c'est mieux que la sclérose neuronale, non?
Comme je ne connais pas tout le monde, et ayant assisté à des empoignades pour des malentendus, j'ai parlé de vexation mais ce n'était pas pour toi en particulier; je ne voulais pas paraître pédant.
(en plus, je prends un médicament dont un des effets secondaires est de me rendre survolté et aggressif; je ne me rends pas toujours compte de l'impact de mes mots)
Une pièce non ébavurée n'est pas une pièce 'finie'; je pense que c'est la même chose pour l'écriture de procédés d'atelier : en les écrivant bien, on se souvient de l'origine et de la manière de faire.
Pour les vis entre cuir et chair, suivant mon expérience (installation de bagues sur arbres de cribles, bagues de diamètre intérieur d'environ 160mm), on en met au moins deux ( à 120 degrés pour éviter d'amincir la pièce sur un diamètre) mais elles ne sont là que pour la sécurité; c'est le serrage de la bague sur l'arbre (placement à chaud puis reprise pour mise à tolérance finale) qui crée l'unification des deux pièces. Si je me trompe, corrigez-moi, merci.
Bons copeaux,
cordialement,
Christian