Bonjour
Sur la 515; effectivement la pièce et le plateau sont soumis au même régime.
L'envoi d'alternatif dans les bobines du plateau désaimante, mais ce n'est jamais un absolu.
2 secondes d'appui sur le poussoir et on a décrit 100 cycles d’hystérésis mais à flux constant, comme il n'est absolument pas sûr de s’arrêter
au zéro de l'alternance; c'est l'origine du rémanent.
il faudrait pouvoir éloigner lentement la pièce pendant l'appui.
(c'était le principe de démagnétisation des têtes de lecture des anciens magnétophone à bandes).
Attention au cas ou le redresseur n'est plus actif, la pièce ne tiens plus donc c'est le crash...
De plus en plus les plateaux magnétiques "alimentés" ont disparus au profit des mécaniques.
(par sécurité de la tension alimentation trop élevée, 110 v autrefois, fil à la patte, gênant pour les courses longues et présence de l'arrosage)
Ma machine est une PLH300 de chez Lip, le plateau magnétique est mécanique (on déplace des aimants avec un levier)
Ce qui suppose une petite vérification avant la mise en route...
il y a toujours "un peu" de flux rémanent mais la pièce est décollable, donc un petit coup de chiffon pour éliminer la limaille sur les pôles et c'est de nouveau opérationnel.
En cas d'arrosage; la limaille est moins présente.
L'acier doux prend mieux l'aimantation que l'acier dur ou les alliages ferreux ainsi la fonte
(ce qui suppose de placer des cales magnétiques par sécurité dans certains cas notamment pour des petites surfaces)
j'ai rectifié du bronze mais dans l’étau...
L’intérêt de désaimanter sur une petite table est que c'est compatible avec mon type de plateau et surtout que ça marche bien.
cldt, cf63.