Je crois avoir compris que l’idée serait d’utiliser l’outil d’alésage pour la finition, une fois le carottage fait...
Moi en principe, je finis avec l’outil à rainurer, mais il s’agit de bons outils professionels, je n’ai pas de problème d’état de surface avec.
heu c’est bizarre
un outil à carroter est bien fait pour faire une gorge circulaire sur la face
comme un outil à gorge exter est fais pour faire des gorges sur un diamètre
quand on fait une gorge exter , on ébauche et on fait la finition avec la même forme d’outil on ne change pas d’outil
pour le carottage c’est la même chose , on utilisse l’outil pour carotter et on utilise le même outil pour faire la finition des deux diamètres .. on ne peut pas trouver d’outil plus adapter au point de vu solidité , même si c’est un outil qui a tendance à vibrer
A voir les commentaires je me dit que c'est pas anodin comme problématique.
J'aurai bien une question :
D'ordre plus général, comment vous y prenez vous (avec quel outil / méthode) pour faire une découper frontale et économiser de la matière, sans aucune recherche de précision sur la découpe, juste à l'économie
-> Exemple, un disque de grand diamètre qui fait rondelle en acier d'épaisseur 10 en acier doux ou plutot que d'aléser le diamètre, vous le découpez comment ?
@LacourWave
pas très clair ta question
si c’est pour faire une rondelle dans une tôle de ferraille
on peut faire ça avec un outil à carotter sur un tour ou bien à la perceuse
je cherche des exemples et je reviens
des exemples de carottage de fou
Ohhhhhhhhh, les outils de malades! Magnifique!
moi qui serre les fesses quand je carotte du 30 d'épais...
Et je fais en 2 fois, en laissant + ou - 1/10 au milieu, et je la sépare au marteau ou à la presse.
Avec un outil à carotter. mais c'est sur des diamètres beaucoup plus gros et avec un outil plus large que 2 mm. De plus on peut avancer en alterné un coup à gauche, un coup à droite pour créer une rainure plus large que l'outil ce qui permet au copeau de mieux dégager car une des cause de rupture est le copeau qui vient se coincer entre outil et l'un des flancs.
Les plaquettes à tronçonner / rainurer ont une empreinte spéciale qui forme le copeau en gouttière pour qu'il ne touche pas les flancs, ce qui limite les risques de casse.
Je ne sais pas si il y a des plaquettes à carotter avec ce type de profil, ni même si il existe des plaquettes à carotter tout court.
Comment j'aurais déjà demandé au destinataire des pièces si ça passe avec un alésage H7 et une sorte de centreur rapporté en p6 ou plus serré encore. Voire avec une vis traversante ou tout autre solution qui remplit la fonction sans s'emmerder avec une rainure qui est un enfer.
Le pb est que les gens ont parfois des exigences... démesurées.
Et on a beau leur expliquer que en faisant telle modif, ça marche pareil pour moitié moins de complications et moitié moins cher, ils ne comprennent pas... parce que ils ont toujours vu comme ça etc...
Le client est roi, à condition qu'il paye.
Selon moi, la relation de confiance se construit en disant "hé, j'ai une solution bien moins chère et qui remplit les fonctions dont vous avez besoin". Si le roi/client est prêt à payer parce qu'il s'accroche comme un con à son dessin initial, ça ne me pose pas de problème non plus.
Tiens, question au passage, ce contournage sur CN avec une fraise de 2 dans de l'acier, on prend quoi 1, 2, 3 dixièmes à chaque séquence de contournage ?
En usinage à avance trochoidale, jusque 4x D, donc en une passe c’est possible...
Je n’irais pas jusque là dans de l’acier, mais je n’en ai pas fait souvent encore.
Ø moyen de la rainure, environ 32 mm, soit un périmètre d'environ 100 mm. C'est la distance que va devoir parcourir la fraise pour faire un tour. Admettons une avance raisonnable de 50 mm/min, ça fait 2 minutes à chaque détourage.
A 0,1 mm par détourage, sans compter les éventuelles passes de finition pour les Ø extérieur et intérieur, ça nous fait 80 séquences de 2 minutes, soit 160 minutes.
La vitesse d'avance est peut-être dans l'impression écran ci-dessus, mais mon anglais ...
à 15000 rpm, une APT de 0.007 mm par dent, ça nous ferrait une avance de 420 mm/mn
pour la finition sur une hauteur de 8 mm , il faut jouer avec les paramètres
Dans ces diamètres de fraise, on observe surtout le résultat de la flexion, on se mets donc en deça d'une rupture, plus
les exigences de précision induite par la flexion.
420 soit environ 8 fois plus que mon hypothèse qui donnait environ 160 minutes, donc une temps d'usinage total d'environ 20 minutes avec les paramètres du tableau. Sauf temps de remplacement des éventuelles fraises cassées par trop de flexion ...
Il ne faut pas y songer, du moins avec un outil de tour à carotter. Après la première pièce les nerfs seront déjà écorchés , et l'outil aura déjà été changé deux fois
Après la seconde pièce ça aura atteint le système nerveux central
A la troisième tu te prépares des nuits blanches, des migraines, des nervous breakdown, comme on dit de nos jours
perso, je vote pour la modif du plan avec prise en compte uniquement du besoin fonctionnel; une nouvelle étude en fait. l'idée de la modif de la gorge par fabrication en 2 pièces, son élargissement voire sa suppression me semblent à étudier de près.
Pour le sciage, j'ai une scie à ruban, pas de problème ça me facilite la vie, une rectif de surface et c'est bon
Pour les tolérances, l'univers de l'usinage et les pro me semble vu d'ici très ancré à des tolérances très fines et précises, il s'agit la d'une commande par une connaissance pour un projet semi perso, je ne peux en dire plus, mais c'est un travail de passionné. Moi même passionné et pas du tout du métier d'usineur (Prototypiste / Chaudronnier / Concepteur indus) je me sert de tolérances que vous appellerez grossières pour faire fonctionner le matériel.
Le mandrin j'ai réussi à lui faire bouffer du diamètre 130 avec des mors doux retravaillé.
Il ne faut pas y songer, du moins avec un outil de tour à carotter. Après la première pièce les nerfs seront déjà écorchés , et l'outil aura déjà été changé deux fois
Après la seconde pièce ça aura atteint le système nerveux central
A la troisième tu te prépares des nuits blanches, des migraines, des nervous breakdown, comme on dit de nos jours
Pour un projet similaire, j'ai du couper 500 tiges de Ø12 à 80mm et 1000 tubes Ø20 à 25mm, puis souder 1250 tôles, les assembler en soudant les deux tubes du une tige, et souder les tôles pour fabriquer manuellement des chenilles pour un véhicule style agricole/tout terrain. Sachant que potentiellement il faudra que j'usine ces 500 axes manuelle question de budget, je ne fais pas ça en temps que pro mais comme petite activités de loisir.