JeanYves a dit:
Bonjour ,
Pour vérifier ces perçages coniques il faut utiliser des billes , c à d , mesurer la difference de hauteur de penetration avec 2 billes differentes de Ø connu , bien evidemment , il faut au prealable faire les calculs ..
C’est la solution que j’aurais adoptée pour vérifier le cone et ensuite une seule bille pour mesurer la pénétration
skarab2201 a dit:
Pourrais on imaginer pour vérifier le diamètre max du cône :
- une bille (diamètre 9.99 par exemple) qui rentrerai intégralement dans le cône
- une autre (diamètre 10.01) qui ne rentrerai que partiellement
et pour la cote min du cone :
- une bille qui passe au travers du cone
- une autre qui ne rentre pas
cela vous paraît viable comme test?
surtout pas , il faut absolument que les billes portent sur le cône
imagine que l’usineur fasse un chanfrein sur le bout du cône …. Le contrôle avec la bille qui passe dans le trou ne serra pas bonne
il reste une solution toute bête : c’est de faire des tampons de contrôle comme pour vérifier un cône morse ou un cône SA
bien sur il faut une dextérité un coup de main pour apprécier la portée mais je l’ai vu faire plusieurs fois et je l’ai également fait
le contrôle de la portée, suivant la précision peu être fait en passant sur la pièce mâle , de la craie , du crayon feutre, de l’encre de traçage, ou même comme font certain rectifieur avec du suif, ça je ne l’ai jamais fait
il y a aussi un façon très efficace, aussi bizarre que cela paraisse , c’est le noir de fumée, on passe la pièce sur la flamme d’une bougie pour la noircir,
ouai, d’accord, ça ne parrais pas très sérieux, si des clients viennent visiter l’entreprise
pour mesurer la pénétration avec un tampon il suffit simplement de mesurer la cote de dépassement du tampon
il faut d’abord vérifier le tampon soit avec des piges comme ci-dessus soit avec une tridim pour pouvoir déterminer la cote de dépassement ainsi que la cote d’inclinaison
il faut aussi que la série soit suffisante pour justifier la fabrication d"un cône
pour citer une expérience; j'ai fabriqué des cônes femelle pour des moyeux porte meules, j'avais fait des cône qui me paraissaient bon, et l'ouvrier qui les faisait habituellement m'a dit qu'il y avait un défaut de conicité, ceci sans mettre quoi que ce soit sur le cône