Au centre d'apprentissage et dans les usines où je suis passé, toile émeri ou papier abrasif interdits.
Dans les années 70 chez Thomson, un avertissement.
Bonjour. C'est tout à fait exact ! Bonne journéeBonsoir,
Si on regarde l'usinage au tour au microscope (sans gros grossissement) ou à la loupe binoculaire on voit bien que la cote au 1/100ème se mesure sur les sommets (forcément) des stries d'avance, un coup de toile émeri avec derrière , un plan qui fait plaquer la toile, on ecrète les sommets des stries, de ce fait la surface portante de l'usinage sera plus importante, qui s'en plaindrait ?
Bonjour. Je réagit par rapport à "un bon tourneur doit savoir usiner sans toile émeri". Il ne faut pas oublier de prendre en compte la tolérance qui est demandée, l'état du tour, l'environnement ( la T° , la poussière, la conformité des appareils de mesure , le professionnalisme de l'opérateur ...) l'expérience du tourneur et usiner des pièces à 0.01 mm est très délicat. Je ne critique pas mais beaucoup parlent de centième comme d'un kilo de sucre. Pour mesurer le VRAI centième , il faut le faire en Laboratoire Métrologie. Je me permets d'intervenir àprès 20 ans de mécanique générale et 20 ans de métrologie. La différence est importante , cependant les deux sont indispensables. Bonne journée . Bien cordialement.J’avais entendu dire qu’il y avait plusieurs raisons … bonnes ou mauvaises
1 sur un tour c’est dangereux , entre se faire attrapé les doigts ou la main et quelque fois plus
2 la surface n’est plus toujours conforme en geometrie
2 il se dépose sur la surface toilée des grains d’abrasifs qui peuvent causer une usure si les pièces sont en mouvement
3 les grains se posent sur la machine , avec le même risque que ci dessus
4 un bon tourneur doit savoir usiner sans toile émeri
5 il y a peut être d´autres raisons
d’autres remarques
j’ai connu un contrôleur qui n’avait plus que deux doigts sur une main , j’ai supposé qu’il était un ancien tourneur qui s’était fait accrocher par son mandrin
j’ai connu une entreprise ( en intérim) qui 'autorisait et même donnait de la pâte à rôder diament pour retoucher ou finir des cote
pour les examens c´est interdit , mais comment fait-on pour arriver à voir que ça a été toilé .. il paraît qu,on arrive à sentir la colle de l’abrasif sur la pièce … je suis septique
en faisant des finitions avec un outil à gorge droite en ARES bien affûté et bien positionné on arrive à faire des surfaces très brillantes , comment on fait pour faire la differance entre outil ou toile émeri ?
Oui bien sûr , mais dans ce cas c’est au technicien ou au chef d’équipe de déterminer ce qui peut être fais sur cette machineBonjour. Je réagit par rapport à "un bon tourneur doit savoir usiner sans toile émeri". Il ne faut pas oublier de prendre en compte la tolérance qui est demandée, l'état du tour, l'environnement ( la T°
Je vous comprends et suis d'accord avec vous . Je pense que l'on est de la même génération . Personnellement , j'ai eu le chance d'avoir à ma disposition des machines outils très récentes. Cependant j'ai commencé ma carrière sur un étau limeur , ensuite sur un Cazeneuve neuf , toutes les machines existantes , fraiseuses , rectif planes et cyl , rectif à tailler dans la masse... et j'ai terminé en programmation CN en 3D en Laboratoire Métrologie ou j'ai beaucoup appris ( mais ça ne pas rendu riche). Au niveau du "technicien" il doit être au courant de ce qui est faisable ou non dans son entreprise . Bonne soirée. Au plaisir.Oui bien sûr , mais dans ce cas c’est au technicien ou au chef d’équipe de déterminer ce qui peut être fais sur cette machine
par exemple
je me rappelle la premiere entreprise ou j’ai travaillé , à l’époque du plein emploi, on m’avait mis sur un tour tout branlant avec des jeux de partout il y avait deux cotes précise à faire ,
. Le chef d’équipe a été voir le technicien pour qu’il marque sur le plan une rectification , parce que mon tour était incapable de faire cette précision