Le pic de courant sur ton moteur est quand le rotor est bloqué, un condition qui se presente quand on demarre. Ce pic peut aller facilement a 150% du courant indiqué sur le plaque du moteur, voir largement plus. Donc, pour les gros, faut essayer de limiter cela, sinon c'est «clac» au disjoncteur et madame ne peut plus regarder les chiffres et des lettres.
Si le moteur tourne quand on le demarre, le rotor n'est plus "bloqué", et ce pic est attenué - plus le moteur approche sa vitesse nominale quand on mets le jus, moins eleve sera le pic. Y en a plusiers facons de faire cela; qui vient de demarrage a la corde jusqu'au demarreurs electroniques hyper-sophistiqué.
On peut donner le tache de "accelerer le moteur vers son vitesse nominale" a un autre moteur, puis enclencher le courant sur le gros pour le faire tourner sur ses propres moyens. Si on est parti pour des images de voiture*, c'est le meme principe que le demarreur sur le voiture, ou mieux, de pousser le voiture pour le faire demarrer sur un cote quand on a pas de batterie.
Et si on s'est débarrassé du nécessité d'auto-démarrage, on peut mettre moins, voir pas de tout, de capacitance permanent sur notre moteur principal. Un moteur tri tournera avec que deux phases connecté (le situation si on branche sur mono) sans le moindre condo**, mais il ne démarrera pas*** - faut l'accelerer par des autre moyens.
On mets des condos pour 3 raisons - le premier c'est d'assurer l'auto-démarrage du moteur (ce qui peut s'averer difficile au-dela des 6CV en tout cas), le deuxieme c'est de controler le phase «phantome» généré dans le troisieme bobinage du moteur, et le troisieme est de reduire le courant passant par des autres condos. Un condo de demarrage force un tension assez eleve dans le 3eme bobinage, histoire de «reveiller» le moteur, et c'est tout.
Pour faire un exemple - sur mon moteur de tour, un 1,5CV avec condo de demarrage de 70µF entre L2 (neutre de mon installation mono) et L3 (le «phantome»), ca mets ~290V entre L2 et L3, le moteur tourne mais ca grogne, et si on laisse tourner comme ca, ca fini par faire sauter le relais thermique. Donc, le condo de demarrage, c'est pour le demarrage seulement. Mais si y en a pas de condos quand ca tourne, j'ai ~160V et 180V L1/L3 et L2/L3, le moteur est sous-alimenté, et grogne legerement car L3 est dephasé (il travail contre lui-meme). Donc, apres des essais asses longué, j'ai 30µF permanent entre L2/L3 et 14µF permanent entre L1/L3. Ca me donne 230V entre chaque paire de phases, ±2%, avec le moteur sur charge. Ces condos sont la pour le deuxieme raison cité dessus. Le moteur ne grogne plus, ca tourne comme un horloge. Puis, pour le troisieme raison, j'ai emprunté une pince amperimetrique au travail, et mises des condos entre L1/L2 pour baisser l'amperage, toujours sur charge, jusqu'a le moment qu'il commence a remonter. Dans mon cas, 9µF fait l'affaire. Tout ca fait revenir le moteur vers les 90% de ces capacités nominales, mais seulement quand il est dans le plage de charge ou j'ai fait les tests. Sans charge il est legerement sur-alimenté (moins que les 105% quand meme) et sur charge massif, vers le point de «calage», bien sous-alimenté. Ce n'est evidemment pas un procede sans defaut.
Et j'ai toute a refaire. Demain je recupere un moteur Leroy Somer de 4CV, qui va me faire moteur pilote et le tour repassera en tri «simple»
* par contre, l'histoire de patinage ne tient pas, en general, et certainement ici, si on patine dans la neige, on est cuit. En hiver, c'est 2 jours sur 3 que je suis obligé de m'arreter en route pour le travail pour aider des gens, qui ont essayé de "forcer" le route en patinent et qui sont bien bloqués dans les virages a epingles bien raide, de mettre leurs chaines a neiges.
** a <60% de sa capacité nominale, quand meme. Mais ca tourne.
*** ni se redemarrer / reaccelerer si on le «cale»