Alors là, tu me poses une colle !!
Déjà, dans le montage d'origine, on ne connait pas les caractéristiques de la bobine (résistance entre autres), du transistor (germanium peut-être, mais au moins un modèle ancien), et les signaux associés (tension et courant), forcément très loin d'un signal carré. Donc, pour extrapoler sur un montage assez différent, pas facile. La résistance (1 à 10k je dirais) serait à mettre juste entre la base du transistor et le reste du schéma. Une autre résistance limitant le courant de charge, entre la cathode des diodes et le condensateur, serait plus "propre", le courant de charge étant défini actuellement par les caractéristiques des sorties du montage à quartz. En même temps, c'est prévu à l'origine pour piloter une bobine, on va dire que charger un condensateur n'est pas plus méchant. Mais sans regarder à l'oscilloscope sur le montage réel, avec un montage aussi exotique, je ne sais pas prédire.
Avec un processeur judicieusement utilisé (timer et mode sleep) on peut avoir une consommation extrêmement faible. Mais un petit PIC10 ou 12 nécessite au moins 1V8 pour fonctionner. Une pile de 1V5 ne suffit donc pas.
Et comment évolue l'énergie consommée par le système si l'impulsion doit apporter un certain décalage, alors qu'elle doit être minimale quand c'est juste pour entretenir l'oscillation.
Un système simple en apparence peut être très complexe à analyser !
A suivre, je réfléchis.
Dans un premier temps, voir à l'oscillo l'effet résistance + condensateur. On pourrait aussi avoir 2 ou 3 piles 1.5V en série, alimenter l'horloge par une sortie intermédiaire sur la première pile et mettre la bobine en 3 ou 4.5V
Si cela n'est pas satisfaisant, on peut sans problème alimenter en 3V un petit pic ne consommant certainement que quelques uA, et pour la référence de temps, mon oscillateur de précision consommant trop pour des piles, il faut garder ton horloge (donc 1.5V intermédiaire), c'est très bien.