Après beaucoup d'aventures
, des missions phagocytant la vie
, une démission avant un patronicide avec sévices aggravés
, deux mois de repos mérités et indispensables
, le remontage de la ET500
, un reprise de boulot sympa
, le remplacement du perron
.... des journées de circuit sympas
... il est temps que je m'occupe de ma fraiseuse
En premier il s'agit d'y voir clair. Je réattaque la dépose du bélier.
Manifestement c'est la graisse séchée et durcie qui coince.
En janvier j'avais barbouillé de W40, mais ça n'avait pas suffit. Grand coup de masse sur des bouts de madrier, ça bougeait de quelques dixièmes et encore, pas tout le temps.
Aux grands maux les grands moyens.
Un cric bouteille en position, maintenu en place par une sangle
Avec une cale de répartition, car vu ce que j'ai appuyé, j'ai probablement été au taquet du cric, peut-être même plus.
Ça n'est pas venu tout seul, il a fallut que je mette encore quelques coup de masse avec le cric en tension.
Puis une fois débloqué, c'est venu gentiment.
Par contre j'ai eu l'idée de calculer le poids du bélier ... 45 kg ...
Du coup j'ai assuré par des sangles tendues à la charpente.
Ça y est , on y voit plus clair, je vais pouvoir démonter le moteur pour souffler tout ça.
Comme je manipulais le morceau facilement je croyais que les 4 séances de musculation du mois dernier m'avait transformé en Schwarzy .... bin non, le bélier est creux ... argllll les hyènes .... y m'ont fait peur pour rien ... poids du bélier en vrai avec le palier 27kg
On va nettoyé et graissé tout ça et puis stockage
La suite avant 6 mois, promis
E.T.