Bonsoir à tous
pour amener ma pierre à l'édifice...j'ai découvert au fil des mois que le conseil éclairé de Vieulapin était des plus valides. La question n'est pas l'équerre de fraisage mais le tour qui la supporte. Pour essayer de préciser les influences au premier degré, pour ce que j'en ai ressenti:
-) le tour, la rigidité du banc et du trainard...la motorisation est rarement un problème.
-) le réglage des lardons, essentiel. la possibilité de blocage des axes aussi bien sur l'équerre que pour le trainard.
-) la connaissance expérimentale personnelle cad le ressenti de SA machine en fraisage opposition ou en avalant. la limitation principale par rapport à une fraiseuse c'est l'amplitude des déplacements et la visu à 90°....ça parait négligeable mais...le cerveau humain est ainsi
-) certains revendeurs parlent de ne plus vendre ce type d'accessoires à cause des risques liés à la méconnaissance des utilisateurs...ils vendent aussi les fraiseuses!
un accessoire dont il faut se méfier: les fraises scies fine épaisseur 1mm (risque d'explosion intrinsèque si jeu il y a...lunettes obligatoires)
-) le réglage des axes de réference peut être laborieux si multiplication des axes de rotation, là encore, Vieulapin a raison: on sait toujours après ce qui est vraiment utile pour ce que l'on fait. ET ce que l'on fait: ça évolue, les portes s'ouvrent.
-) enfin: tailler un morceau dans un bloc de brut 100*100 et faire émerger une pièce en AL, laiton ou A60 est un plaisir amha inégalé
-) j'allais oublier: excursion limitée à env. 100 à 150mm en une passe MAis passage tour/fraiseuse en 2 minutes (pas de coiffeur)
évident mais évidemment après...Cordialement jacques