Bonjour,
Je maintiens : si on fait varier la tension, le courant va varier de la même manière, et la vitesse fera de même.
Donc pour démarrer, il faut se mettre en vitesse mini.
Comme le remarque
CNCSERV ; à vide le moteur série a tendance à s'emballer : à vide, il y a une faible conso, donc un flux faible, cela implique forte vitesse E
= n N Pour E constant n = vitesse ; = flux, donc le courant... qui dépend de la tension
La régulation consiste alors à diminuer la tension, par exemple en limitant la largeur des impulsions ( MLI), ou en modifiant l'angle d'allumage d'un triac : temps de conduction réduit.
Avec un montage simple avec gradateur par potentiomètre, on part de tension faible, vitesse 0
Le moteur a un tachymètre, comme remarqué, on peut utiliser le circuit intégré TDA qui gère tous les paramètres, et sait réduire la tension su vitesse trop forte.
On trouve des schémas.... il reste à adapter en fonction du moteur.
Si on se contente d'une solution simple : le gradateur, on peut utiliser une pédale pour réguler la vitesse, comme celle des machines à coudre : on fait bouger un curseur de potentiomètre.
Les mains occupées sur le tour, un pied qui contrôle la vitesse, on relâche, tout s'arrête.
Si, comme remarqué, il faut une régulation de vitesse, ce qui est techniquement la meilleure solution,
on achète un module, avec par exemple le TDA, dans ce cas, il faut prévoir un réglage automatique en fonction du travail à effectuer, le matériau...
Il faudra peut être adapter le module : ajuster la résistance de shunt qui mesure le courant, régler le tachymètre pour que le module ait une tension qui est dans sa plage de fonctionnement