L’acier des tiges d’amortisseurs est vraiment une matière à exploiter.
Une fois sa couche de chrome débarrassée (si nécessaire) la tige présente une certaine dureté (trempe) sur 2 à 3 m/m de profondeur, tout en restant souple à l’intérieur, ceci est visible quand on dresse la face tronçonnée.
J’y ai trouvé de multiples utilisations, axes, glissières, fabrications de vis spéciales, ainsi que des fraises spécifiques à mon boulot.
L’acier supporte très bien une trempe sèche où à l’huile. Il ne me reste plus qu’à affûter pour avoir un outil parfait.
J’ai trouvé une petite astuce pour vider l’amortisseur de son huile, sans emboucaner l’atelier, tout en évitant d’utiliser trop de chiffons.
Il y à aussi les amortisseurs de haillons, qui selon ont des Ø de 8 à 12 m/m.
Attention ceux-ci ne contiennent pas d’huile, mais de l’air comprimé. Il est préférable de percer très lentement un trou de 2m/m pour le purger avant de le démonter.
Mon stock commence à baisser