Bonjour à tous,
Ce que nous lisons ou écrivons étant très éloigné des textes évangéliques, je me permets de revenir humblement sur ce sujet maintes fois débattu ; chacun jugera.
Je remonte à mon apprentissage, années 60.
Un projet petit compresseur dans mes cartons, un moteur tri 110/220 sous la main, je me suis lancé dans l'aventure. Ignorant les conseils de mes Maitres, j'ai rapidement déchanté.
Si ce moteur alimenté en mono tournait bien à vide, une fois chargé... ... ma petite baudruche orgueil c'est rapidement dégonflée.
Malgré cette évidence, une meule plate montée en bout d'arbre, je l'ai utilisé un certain temps comme touret ; ce n'est pas le bon exemple.
Écumant les casses, mon modeste atelier est rapidement passé en mono.
----------------- Quelques décennies plus tard :
Lorsque j'ai déniché ma première SYDERIC, j'ai ressorti du chapeau et provisoirement, la fameuse recette condensateurs.
Un commutateur d'alimentation, un contacteur condensateur bis, un bouton poussoir, les ronflements, les vibrations, les décrochages... bref !
Mon convertisseur est arrivé. Plus de ronflement, de bruit, seul celui de la soufflante, un souplesse d'utilisation indiscutable, que du bonheur.
Aujourd'hui, quelque soit la formule utilisée, la plus simple du 14µ à l'ampère ou la complexe tableau
qui fait bien, indigeste pour un néophyte, rien a changé.
Si la recette peut être applicable à faible charge, ce montage n'est qu'un " pis aller. "
Concernant mon De VALLIERE, je l'utilise avec un pilote nettement plus performant.
Sur une machine unique, 2 moteurs, deux coffrets, le montage est assez lourd.
Je dois prochainement tout refaire, moteur mono ou variateur ?
Pour un amateur disposant de plusieurs machines, cette option pilote est une formule économique qui fonctionne bien.
Vous souhaitant bon vent, je retourne vers mon chemin balade.
Cordialement, JCD.