Finalement SOCOMO avait prévu qu'il y aurait un con d'anglais qui installerait son tour à côté d'un mur,
et les axes peuvent bien se démonter par la gauche et sans dégager le paroi des paliers.
Une fois son palier droit libéré, la goupille d'entrainement chassée,
et avec un peu d'encouragement d'une barre à mine judicieusement placée, la vis mère se libère confortablement.
Reste à faire passer le bout de la barre de chariotage par sa bague fixe à droite ?
L'astuce c'est qu'elle est portée dans un palier composé d'une bague en bronze maiis le
bout de la barre hexagonale
est un palier cylindrique qui se démonte (avec un petit choc thermique et un jet en alu) - ainsi la barre peut être
manœuvrée de travers malgré la bague en bronze, et le tout se dégage facilement.
Avec des élingues pour délester le tout pendant toute l'opération, aucun risque de tordre ni d’abîmer ............
Résultat, on a un tour qui a souffert plus de la peinture et de l'abandon que de l'usure.
Les demi-écrous sont portés dans des coulisses bien élégantes, et réglables, je ne sais pas si c'est toujours ainsi sur ce calibre de machine mais ça me plait.
Par contre je pense qu'il serait quasiment impossible de les démonter sans enlever le tablier,
car les axes ou pions qui sont vissés dans ces écrous pour s'engager avec la came de la commande sont totalement inaccessibles.
Je mettrai l'ensemble des photos prises sur un post spécifique au SOCOMO juste pour servir de référence pour le prochain qui s'y aventure.
Et un grand merci à mes conseilleurs.