Comme précisé ci-dessus et dans le désordre :
Vérifier que dans l'amplitude de la course de la mise en fonction des contacteurs, tout se passe normalement. Vérifier l'intégrité et donc aussi l'étanchéité de la membrane directement en contact avec l'air de la cuve.
Ensuite je ne pense pas que le seuil de pression "bas" soit réglable. Le pression dans la cuve poussant sur la membrane ouvre le contact "haut" du pressostat et interrompt le courant lorsque cette pression a atteint son seuil maximum réglé et voulu par l'utilisation, évitant de dépasser la pression de service interne de la cuve (cette pression de consigne est aussi limitée par la soupape de sécurité tarée pour ne pas dépasser cette pression de service.)
La pression d'enclenchement et donc de fermeture des contacts à la pression basse dans la cuve, n'est normalement pas réglable.
Il faut donc trouver le bon réglage de la pression haute par l'action sur l'écrou de tension visible sur la photo par tâtonnement et sans dépasser la pression de service de la cuve (c'est gravé dessus), pour information dans l'ordre et de la plus basse à la plus haute, la pression de service et la pression d'épreuve sont gravée sur la cuve et donc connues, la pression d'éclatement est une notion variable selon la construction de la cuve et sa conception. Selon la pression réglée par le pressostat, la conso électrique de l'appareil sera différente comme sa durée de vie.
Mais dans l'absolu, un pressostat mono-phase vaut à peu près 6 ou 7 euros port compris chez les chinois. Un pressostat mécanique est le plus économique et purgera à son seuil de déclenchement la tubulure au groupe de compression pour un redémarrage du moteur électrique au mieux de ses capacités (en equipression de cette tubulure : donc hors charge.)
Voilà.