mais je l'ai très bien vu le capot et c'est le cœur du problème de cette discussion, de ce que vous appelez polémique : considérer que la machine est pas dangereuse juste parce qu'il y a des capots.
Je me répète mais pas grave
1) rien ne garanti que les capots sont satisfaisants (cf l’exemple que je disais que le verre au plomb qui n'en était pas. Le rayonnement se voit pas, comment tu sais que le capot que tu changes et conforme ?) ou qu'il le resteront.
1bis) sur une machine non certifiée CE, RIEN te garanti que le capot ne soit pas là que pour canaliser les fumées).
2) ta machine classe 2 capot fermée devient classe 4 capot ouvert (pour passer un grand panneau ou toute autre bidouille) Suffit que celui qui fait la manip considère que le capot est là pour mieux aspirer les fumée (ce qui est pas faux) et il se met en danger.
3) la moindre opération de réglage ou de maintenance est en classe 4 (et ça arrive souvent), surtout s'il n'y a pas de pointeur laser classe 2 (ou s'il tombe en panne).
4) la pédagogie : si tu apprends a un jeune que le laser est pas dangereux il retiendra ça et manipulera sur son bureau son laser 30W en profilés alu sans carter de la même manière. Je n'aurais pas pris la parole dans cette discussion s'il n'y avait pas cet environnement association+gamins
Quand je préconise de mettre une consignation (et/ou un démarrage sur clé )sur la puissance du laser je propose une solution très pragmatique pour les responsables du club pour assurer une utilisation raisonnée de la machine. (rien empêche les jeunes de bidouiller les axes, de les régler et de préparer l'usinage...)
Accessoirement un fonctionnement sous surveillance d'un responsable permet aussi de se protéger des 2 autres grands dangers du laser : -les fumées (le jeune fait pas la différence de gravité entre la ventilation que l'on met quand on fait cuire du poisson et celle qui sert à évacuer les gaz toxiques de la découpe)
-l'incendie (on lance la découpe et on part chez pizzahut)