Bonjour,
il restera la rectification, mais si c'est une pièce pour une cotation,là ! tu es cuit, cela aura servi de leçon,,, dommage, mais tous on y a passé par un mauvais moment ,,,
Oui Dodore, qu'est ce que l'on nous as cassé les pieds avec ces vitesses économiques et vitesses de moindre usure, mais en respectant ces données, on ne risque pas de se faire attraper par une casse, par un soucis de surchauffe,,,, il ya un paragraphe dans le livre d'Adam,,,
Le gros soucis c'est que beaucoup se limitent pour la lubrification, parce que cela "en fout partout" et que l'on est vraiment dégueulasse quand on sort de l'atelier,,,
Le plus simple que j'ai vu en lubrification est un réservoir de voiture surélevé avec un robinet pointeau qui laissait couler un filet de pétrole, un demi fût métallique récupérait le pétrole sous le tour, via un ancien drap de lit et servait à nouveau pour la lubrification après son transfert dans le réservoir supérieur avec un récipient genre casserole reconvertie,,,,
Les avantages sont que :
- la pièce est bien refroidie si elle est arrosée je préconise de l'arrosage derrière l'outil donc diamétralement opposée, cela coule dans le bac sans en mettre partout,,,
- pas de rouille pour la machine,,,
- pas de moustique, mouche, taon,,,
Mais défense de fumer,,,
Le pétrole mélangé à 50% d'huile neuve ( voiture ou machine pas d'importance) sert à faire du "brillantage de la machine" graisser les glissières et notamment les feutres racleurs de table, de plus ce mélange empêche la rouille quand les machines sont en hivernage, ajoutez y une feuille de journal qui se plaquera sur les surfaces par capillarité et empêchera le pétrole de s'évaporer, A ++