je suis du même avis que Remi.
maintenant, celui qui dois choisir, c'est toi.
défini tes besoins, ca permettra d'orienter ta décision.
Si tu restes dans des métaux tendres (alu, laiton) avec une précision de 5 à 10 centièmes, le chinois est une option possible.
surtout en maquette...
si tu veux attaquer des pièces en acier, en fonte, d'un diamètre de 200mm ou d'une longueur de 500mm, réaliser des assemblages avec des tolérances de l'ordre de 3 centièmes ou moins, l'européen sera sans doute plus adapté.
Mais est-tu sur de pouvoir l'apprivoiser ?
j'en eu un tour chinois pendant 2 ans, j'ai ré-appris ce que j'avais oublié et c'est très bien ainsi.
après, oui, il y a quelques restrictions :
- mieux vaut ne pas choisir une machine avec de l'électronique
- la précision n'est pas celle du matériel européen du milieu du siècle dernier
- il vaut mieux avoir un fournisseur sérieux et un bon SAV
mais l'avantage, c'est que :
- ce n'est pas très cher,
- ce n'est pas trés encombrant,
- ca se revends très bien pour peu qu'on en ai pris soin,
- les pièces de rechange ne sont pas excessivement cher
- ainsi que les accessoires
- c'est fonctionnel en peu de temps
Les machines européennes, j'en ai deux maintenant.
La problématique n'est plus la même qu'avec ma chinoiserie.
faire marcher le variateur, adapter le moteur, refaire quelques pieces, investir dans du matériel de manutention dès qu'on veut déplacer un truc etc etc
bref, oui, sans aucun doute, le matériel du milieu du siècle est sans commune mesure avec les chinoiseries tant en terme de précision et de fiabilité
Mais également quand les autres aspects.
Il faut être capable de l'assumer.