J'entendais par roue libre (à gauche sur le vélo), le même principe que sur la roue libre de la roue arrière (le système à rochet si ça s'appelle comme ça)
Autrement dit, sur l'axe du pédalier, il y a à gauche, une roue libre avec la couronne d'entraînement reliée au moteur. Moteur arrêté, la couronne reste fixe. Et à droite, le pédalier classique.
Hector disait que la fréquence de rotation était fixée à 60t/min qui semble la fréquence standard d'un cycliste normalement constitué.
Finalement, le moteur entraîne l'arbre une fois en route. Un embrayage centrifuge en sortie de l'arbre menant permet, au ralenti de ne pas avoir de traction, au régime nominal, avec la démultiplication, 60 t/min La couronne "roue libre" étant entraînée, le pédalier suit, indépendamment du rapport engagé tant sur le pédalier de droite que sur la roue arrière.
Même moteur en marche, si tu pédale plus vite que 60t/min (ou une autre vitesse selon la démultiplication finale) le moteur tourne dans le vide !
L'avantage c'est que c'est purement mécanique, pas d'embrayage, etc.
Une autre solution serait un plateau à embrayer, mais c'est plus compliqué.
Je ne sais pas me servir des logiciels de CAO, il me faut apprendre !