D
Dxmax
Compagnon
Bonsoir à tous,
ce soir, point de problème d'usinage, d'arnaque ou autre tracas quotidien dans les lignes à suivre.
Une fois n'étant pas coutume, je vais vous raconter ma journée qui, je pense, en intéressera certains d'entre vous en particuliers les inconditionnels de la marque de MO Cazeneuve.
Parenthèse sur le contexte:
Comme certains le savent, je suis en cours d'étude de faisabilité concernant une création de société d'usinage de pièces mécaniques typée unitaire ou petites séries. Etant actuellement équipé à 100% de machines traditionnelles à titre personnel/semi pro, je suis, dans le cadre de cette future création entrain d'étudier la possibilité d’évolution de l'atelier traditionnel vers des CN.
Etant particulièrement satisfait de mon 360HBX, il n'y avait pas de raison que je n'aille pas voire du côté de son fabricant pour son futur successeur.
Bref, ceci m'a amené à pousser les portes du salon Industrie Lyon 2017 et m'a permis de rencontrer M. Tollon (Président Groupe Cato) et M. Exbrayat(Commercial Auvergne) sur le stand Cazeneuve.
Depuis j'ai pas mal discuter avec eux, et de fil en aiguille j'en suis arrivé aujourd'hui à pouvoir aller visiter leur site de production de Pont-Evêque (38) où sont produits les Optica, Optimax, Optimax plus, Id Max et dans une moindre mesure les centres d'usinage Xenon. Feu les HB, HBX360, HBX et HBY590 sont également sortis d'ici en leur temps.
But de la journée:
Mon but lors de cette visite était de rencontrer les gens qui officient chez Cazeneuve dans le but de leur poser diverses questions, remonter quelques idées d'évolution des machines et pouvoir un peu mieux appréhender les différences entre Optimax et Optimax +.
Bref compte rendu de la journée:
Au départ de Clermont-Ferrand où j'avais rendez vous avec M.Exbrayat, le trajet en voiture jusqu'à l'usine a pris grosso modo 1h50.
Arrivés sur place vers 10h, nous avons été rejoints par M. Mabilon (Lien Technique-Commerce), M. Tollon (Fils).
Petit café suivi du premier tour de l'atelier d'assemblage du câblage des armoires en passant par l'assemblage des bâtis... .
Nous nous sommes finalement arrêtés au niveau d'un Optimax 590 qui nous permettra les démonstrations suivantes et aucours desquelles M. De Haro (Directeur Général Cazeneuve) nous a rejoint.
Je ne vais pas ici détailler la présentation de l'usine ni celle de la machine, des vidéos faites par Cazeneuve présentant l'ensemble des activités et de la production tournage.
Présentation de l'usine et des activités
Présentation de l'Optimax
Optimax mode programme
Ceci étant dit, j'ai été très agréablement surpris par l'excellent accueil qui m'a été réservé tout au long de cette journée, l'ouverture d'esprit et surtout une complète transparence vis à vis des questions parfois assez poussées que j'ai pu poser aux différentes personnes sur les différents aspects des machines (interface, mécanique, automatisme...).
Concernant le hall de montage des machines:
J'ai pu constater de mes yeux la qualité du matériel produit et/ou assemblé dans cette entreprise française (cocorico !!!).
Petite précision: je décris ici l'assemblage des Optimax 360, l'assemblage des autres versions étant identique à l'échelle près.
Premier poste: câblage et intégration du matériel dans les armoires.
Pour ceux qui connaissent les tours Cazeneuve et en particulier les HBX bleu et gris (dernière génération, les autres étant très oblsolètes question matériel utilisé vis à vis de l'actuel), vous connaissez la qualité du matériel et du câblage effectué dans les armoires électriques.
Ici, si le matériel a évolué de façon considérable, sa qualité est au demeurant toujours excellente (la plupart du matériel critique étant de marque Siemens) et le câblage impressionnant de rigueur (tout est repéré, ordonné, programmé et personnalisé au besoin sur place, rien ne dépasse mais les armoires permettent tout de même une maintenance aisée (espace disponible dans l'armoire très confortable).
Deuxième poste: montage de la mécanique principale:
A ce poste sont assemblés les bâtis, trainard et transversal, les vis à billes, paliers correspondants ainsi que poupée fixe et contre pointe (et alignement des deux dernières).
Ici on se rend compte de comment est faite la machine puisqu'elle est quasiment nue. On retrouve une base en fonderie, surmontée du banc en fonte coulée, dont les glissières sont préalablement usinées, trempée, rectifiées et grattées à la main sur place (oui oui, le gratteur était à l'oeuvre dans son espace dédié lors de mon passage). Le traînard est identique à celui de l'HBX360, tout comme la contre pointe qui peut ici encore être standard (à volant) ou sensitive (à cabestan).
Le trainard comme les contre pointes présentent également des glissières usinées, trempées, rectifiées et grattées tout comme le banc.
Je dois dire qu'en voyant la mécanique quasi nue les points qui sautent aux yeux en premier sont:
Troisième poste: cartérisation / motorisation / Armoire électrique
Ici sont ajoutés les 3 moteurs (Broche, Axe x et Axe Z) ainsi qu'une grande partie de la cratérisation.
J'ai pu apprécier ici:
Quatrième poste: Finition
Ici sont montées toutes les dernières pièces: éclairage, console CN, écrans et raccordement de l'ensemble.
"cinquième poste": essai
Toutes les machines qui quittent l'usine passent une batterie de tests pour vérifier leur efficacité un peu à la manière des ancien tests Salmon transformés depuis en norme (Afnor NFE 60.101 puis NF ISO 1708) et peut être réadaptées depuis aux machines CNC (à confirmer).
Passage à la démonstration du système Optimax:
Dans la mesure où j'ai pu assister à la demonstration d'une version très particulière de l'Optimax à propos de laquelle Cazeneuve ne souhaite pas communiquer dans le détail pour le moment, je ne m'étendrai pas trop sur le sujet, pardonnez moi (car je soupçonne que certains seront déçus, mais je respecte simplement le souhait exprimé par Cazeneuve).
Je peux néanmoins dire que j'ai été réellement impressionné par les capacités d'usinage de la machine pas tellement en terme de diamètre ou EP, mais plutôt en terme de nombre et de détail des cycles, détail des outils paramétrables, facilité d'utilisation et capacités du mode dessin de profil et précision programmable en linéaire, rayon ou angle et aussi de la visu temps réel (2D) que ce soit en simulation ou usinage.
Je ne l'ai pas précisé avant, mais il va sans dire qu'il s'agit ici d'un Oprimax basé sur une CN siemens 840d couplée avec le conversationnel Shop turn qua Cazeneuve à remarquablement retravaillé sur cette version en terme d'ergonomie et de design.
Pour quelqu'un qui a un peu l'habitude de l'usinage traditionnel et des notions de CN sans rentrer dans le code ISO (G et M), bien que l'ISO soit une option d'ailleurs, il y a fort à parier que la prise en main sera des plus rapides et d'autant plus simple qu'une formation de 2 jours (fractionnables) est intégrée au prix de la machine.
S'en est suivie une pause déjeuner des plus sympathiques à la suite de laquelle fut abordée dans les ateliers (devant la machine, c'est toujours mieux) la question de l'intérêt de l'Optimax + vis à vis de son "petit frère" Optimax "tout court".
Comparaison rapide du système Optimax vs Optimax +:
Cette version permet d'un point de vue conversationnel d'aller bien plus dans le détail de certains cycles mais est pour moi (j'insiste là dessus), plus adaptée à des gens qui sont habitués à un environnement CN ISO ou qui ont des outils tournants (Gamme Id Max CN chez Cazeneuve). Dans le contexte des Optimax 360/590 en tout cas je n'ai (encore une fois de mon point de vue et vis à vis de mes besoins et aussi de mes expériences personnelles) pas vu d'intérêt à "upgrader" vers cette version "Plus" aujourd'hui qui à priori ne m'apportera pas de réels bénéfices (en tournage 2 axes s'entend) et me ferait perdre en convivialité d'utilisation.
Evidemment, le mot de la fin s'est déroulé en discussion technico/tarifaire sur laquelle je ne m'étendrai pas sachant qu'elle est à adapter à chacun et aux besoins de chacun. Sachez néanmoins comme celà a déjà été dit que le ticket d'entrée sur la gamme Otimax 360 (en prix catalogue) se situe aux alentours des 57k€ HT, hors options et livraison).
Résumé:
Cette journée a été très enrichissante autant d'un point de vue humain que d'un point de vue technique.
Je remercie bien évidemment le staff Cazeneuve ainsi que M.Exbrayat qui s'est occupé de l'organisation de cette journée (entre autres) pour leur accueil et leur sympathie mais surtout leur sincérité et transparence tout au long des questions et de la visite.
Cette journée m'a d'ailleurs permis de rencontrer un nos membres: Yoann@Cazeneuve qui officie sur la partie développement soft et comme toutes les personnes rencontrées semble être un vrai passionné.
@ bientôt,
Florian.
ce soir, point de problème d'usinage, d'arnaque ou autre tracas quotidien dans les lignes à suivre.
Une fois n'étant pas coutume, je vais vous raconter ma journée qui, je pense, en intéressera certains d'entre vous en particuliers les inconditionnels de la marque de MO Cazeneuve.
Parenthèse sur le contexte:
Comme certains le savent, je suis en cours d'étude de faisabilité concernant une création de société d'usinage de pièces mécaniques typée unitaire ou petites séries. Etant actuellement équipé à 100% de machines traditionnelles à titre personnel/semi pro, je suis, dans le cadre de cette future création entrain d'étudier la possibilité d’évolution de l'atelier traditionnel vers des CN.
Etant particulièrement satisfait de mon 360HBX, il n'y avait pas de raison que je n'aille pas voire du côté de son fabricant pour son futur successeur.
Bref, ceci m'a amené à pousser les portes du salon Industrie Lyon 2017 et m'a permis de rencontrer M. Tollon (Président Groupe Cato) et M. Exbrayat(Commercial Auvergne) sur le stand Cazeneuve.
Depuis j'ai pas mal discuter avec eux, et de fil en aiguille j'en suis arrivé aujourd'hui à pouvoir aller visiter leur site de production de Pont-Evêque (38) où sont produits les Optica, Optimax, Optimax plus, Id Max et dans une moindre mesure les centres d'usinage Xenon. Feu les HB, HBX360, HBX et HBY590 sont également sortis d'ici en leur temps.
But de la journée:
Mon but lors de cette visite était de rencontrer les gens qui officient chez Cazeneuve dans le but de leur poser diverses questions, remonter quelques idées d'évolution des machines et pouvoir un peu mieux appréhender les différences entre Optimax et Optimax +.
Bref compte rendu de la journée:
Au départ de Clermont-Ferrand où j'avais rendez vous avec M.Exbrayat, le trajet en voiture jusqu'à l'usine a pris grosso modo 1h50.
Arrivés sur place vers 10h, nous avons été rejoints par M. Mabilon (Lien Technique-Commerce), M. Tollon (Fils).
Petit café suivi du premier tour de l'atelier d'assemblage du câblage des armoires en passant par l'assemblage des bâtis... .
Nous nous sommes finalement arrêtés au niveau d'un Optimax 590 qui nous permettra les démonstrations suivantes et aucours desquelles M. De Haro (Directeur Général Cazeneuve) nous a rejoint.
Je ne vais pas ici détailler la présentation de l'usine ni celle de la machine, des vidéos faites par Cazeneuve présentant l'ensemble des activités et de la production tournage.
Présentation de l'usine et des activités
Présentation de l'Optimax
Optimax mode programme
Ceci étant dit, j'ai été très agréablement surpris par l'excellent accueil qui m'a été réservé tout au long de cette journée, l'ouverture d'esprit et surtout une complète transparence vis à vis des questions parfois assez poussées que j'ai pu poser aux différentes personnes sur les différents aspects des machines (interface, mécanique, automatisme...).
Concernant le hall de montage des machines:
J'ai pu constater de mes yeux la qualité du matériel produit et/ou assemblé dans cette entreprise française (cocorico !!!).
Petite précision: je décris ici l'assemblage des Optimax 360, l'assemblage des autres versions étant identique à l'échelle près.
Premier poste: câblage et intégration du matériel dans les armoires.
Pour ceux qui connaissent les tours Cazeneuve et en particulier les HBX bleu et gris (dernière génération, les autres étant très oblsolètes question matériel utilisé vis à vis de l'actuel), vous connaissez la qualité du matériel et du câblage effectué dans les armoires électriques.
Ici, si le matériel a évolué de façon considérable, sa qualité est au demeurant toujours excellente (la plupart du matériel critique étant de marque Siemens) et le câblage impressionnant de rigueur (tout est repéré, ordonné, programmé et personnalisé au besoin sur place, rien ne dépasse mais les armoires permettent tout de même une maintenance aisée (espace disponible dans l'armoire très confortable).
Deuxième poste: montage de la mécanique principale:
A ce poste sont assemblés les bâtis, trainard et transversal, les vis à billes, paliers correspondants ainsi que poupée fixe et contre pointe (et alignement des deux dernières).
Ici on se rend compte de comment est faite la machine puisqu'elle est quasiment nue. On retrouve une base en fonderie, surmontée du banc en fonte coulée, dont les glissières sont préalablement usinées, trempée, rectifiées et grattées à la main sur place (oui oui, le gratteur était à l'oeuvre dans son espace dédié lors de mon passage). Le traînard est identique à celui de l'HBX360, tout comme la contre pointe qui peut ici encore être standard (à volant) ou sensitive (à cabestan).
Le trainard comme les contre pointes présentent également des glissières usinées, trempées, rectifiées et grattées tout comme le banc.
Je dois dire qu'en voyant la mécanique quasi nue les points qui sautent aux yeux en premier sont:
- abandon du chassis mécano-soudé des derniers HBX (bon point par exemple car suppression de certains renfoncements où allaient de loger emulsion et petits copeaux en particulier au niveau du bac de décantation de l'émulsion.
- Banc identique à l'HBX (quand on connait sa robustesse, on ne peut que l’apprécier),
- Poupée fixe complètement neuve, très massive. La hauteur de pointe reste identique à l'HBX vis à vis des glissières du banc.
- Broche complètement neuve au standard Iso A1 6" avec un passage de barre respectable de 54mm (contre 37mm sur l'HBX360).
- Le chariot transversal a été revu: la queue d'arronde qui servait à la fixation du petit chariot est supprimée, on gagne donc en passage au dessus du transversal.
- La tourelle multifix (type B) est maintenant fixée sur une réhausse très massive directement fixée par boulonnage sur la coulisse transversale.
- La partie hydraulique est supprimée au profit d'une transmission directe par courroie(s) Poly V.
- Le moteur asynchrone de broche Leroy Somer laisse la place à un moteur Siemens à variation continue de la vitesse (RPM max: 3000, couple max (S6) de 270N.m constant de 0 à 750rpm). Sa taille est similaire à l'ancien Leroy Somer pourtant bien moins puissant (5.2Kw contre 12Kw pour l'actuel).
- Le diamètre de la vis à billes du longitudinal est impressionnant vis à vis de la taille du 360: Ø32 pas de 5mm (avances rapides: 5m/min).
Troisième poste: cartérisation / motorisation / Armoire électrique
Ici sont ajoutés les 3 moteurs (Broche, Axe x et Axe Z) ainsi qu'une grande partie de la cratérisation.
J'ai pu apprécier ici:
- la robustesse à la fois des tôleries (bien épaisses), et de la peinture (Epoxy cuite et texturée).
- Le chassis mobile qui sert de base à la console CN, et à son écran respire également une santé certaine (épaisseur, rigidité, peinture). Pour la petite histoire, la partie interface homme machine est montée sur une console mobile (Sur patins à billes et rail prismatique Hiwin sauf erreur de ma part concernant la marque) et suivant un axe de rotation verticale qui permettent de la placer puis de l'orienter suivant les préférences de l'opérateur n'importe où tout le long de la machine.
- La partie sécurité (inter-vérouillage des portes câblé sur automate de sécurité).
- Le vitrage principal (en façade) est des plus résistants: constitué à l'intérieur de verre sécurité il bénéficie en plus à l'extérieur d'une doublure en Makrolon.
Quatrième poste: Finition
Ici sont montées toutes les dernières pièces: éclairage, console CN, écrans et raccordement de l'ensemble.
"cinquième poste": essai
Toutes les machines qui quittent l'usine passent une batterie de tests pour vérifier leur efficacité un peu à la manière des ancien tests Salmon transformés depuis en norme (Afnor NFE 60.101 puis NF ISO 1708) et peut être réadaptées depuis aux machines CNC (à confirmer).
Passage à la démonstration du système Optimax:
Dans la mesure où j'ai pu assister à la demonstration d'une version très particulière de l'Optimax à propos de laquelle Cazeneuve ne souhaite pas communiquer dans le détail pour le moment, je ne m'étendrai pas trop sur le sujet, pardonnez moi (car je soupçonne que certains seront déçus, mais je respecte simplement le souhait exprimé par Cazeneuve).
Je peux néanmoins dire que j'ai été réellement impressionné par les capacités d'usinage de la machine pas tellement en terme de diamètre ou EP, mais plutôt en terme de nombre et de détail des cycles, détail des outils paramétrables, facilité d'utilisation et capacités du mode dessin de profil et précision programmable en linéaire, rayon ou angle et aussi de la visu temps réel (2D) que ce soit en simulation ou usinage.
Je ne l'ai pas précisé avant, mais il va sans dire qu'il s'agit ici d'un Oprimax basé sur une CN siemens 840d couplée avec le conversationnel Shop turn qua Cazeneuve à remarquablement retravaillé sur cette version en terme d'ergonomie et de design.
Pour quelqu'un qui a un peu l'habitude de l'usinage traditionnel et des notions de CN sans rentrer dans le code ISO (G et M), bien que l'ISO soit une option d'ailleurs, il y a fort à parier que la prise en main sera des plus rapides et d'autant plus simple qu'une formation de 2 jours (fractionnables) est intégrée au prix de la machine.
S'en est suivie une pause déjeuner des plus sympathiques à la suite de laquelle fut abordée dans les ateliers (devant la machine, c'est toujours mieux) la question de l'intérêt de l'Optimax + vis à vis de son "petit frère" Optimax "tout court".
Comparaison rapide du système Optimax vs Optimax +:
Cette version permet d'un point de vue conversationnel d'aller bien plus dans le détail de certains cycles mais est pour moi (j'insiste là dessus), plus adaptée à des gens qui sont habitués à un environnement CN ISO ou qui ont des outils tournants (Gamme Id Max CN chez Cazeneuve). Dans le contexte des Optimax 360/590 en tout cas je n'ai (encore une fois de mon point de vue et vis à vis de mes besoins et aussi de mes expériences personnelles) pas vu d'intérêt à "upgrader" vers cette version "Plus" aujourd'hui qui à priori ne m'apportera pas de réels bénéfices (en tournage 2 axes s'entend) et me ferait perdre en convivialité d'utilisation.
Evidemment, le mot de la fin s'est déroulé en discussion technico/tarifaire sur laquelle je ne m'étendrai pas sachant qu'elle est à adapter à chacun et aux besoins de chacun. Sachez néanmoins comme celà a déjà été dit que le ticket d'entrée sur la gamme Otimax 360 (en prix catalogue) se situe aux alentours des 57k€ HT, hors options et livraison).
Résumé:
Cette journée a été très enrichissante autant d'un point de vue humain que d'un point de vue technique.
Je remercie bien évidemment le staff Cazeneuve ainsi que M.Exbrayat qui s'est occupé de l'organisation de cette journée (entre autres) pour leur accueil et leur sympathie mais surtout leur sincérité et transparence tout au long des questions et de la visite.
Cette journée m'a d'ailleurs permis de rencontrer un nos membres: Yoann@Cazeneuve qui officie sur la partie développement soft et comme toutes les personnes rencontrées semble être un vrai passionné.
@ bientôt,
Florian.