Général Perceuse NK 203

laisser une belle machine comme ça aux intempéries, y a des coups de lattes qui se perdent

duredetrouverunpseudo a dit:

En montant dessus avec mes 63 kg, l'aiguille ne bouge même pas

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Avec en plus de la qualité de fabrication visuelle, je dirais plutôt une machine Taïwanaise

Belle acquisition !!!

Le bas du tableau des vitesses laisse penser à une descente automatique ?

En plus des 12 vitesses de 95 à 2 000 t/ mn !!! Que l'on change comment d'ailleurs ?

On a hâte de voir d'autres photos des entrailles de la belle !!

duredetrouverunpseudo a dit:

il y a la descente Auto avec 4 vitesses

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Elle a vraiment de superbes caractéristiques !

duredetrouverunpseudo a dit:

Le manuel n'a pas été facile a trouver

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Un joli document à partager dans les ressources ?

Roy et Anselmo c'etait un negociant en machines d'occasion. Ils venaient draguer chez les industriels pour recuperer des becanes d'occasion qu'ils refilaient aux artisans.
Mais dans la boite (multinationale) où j'étais, on ne leur bradait pas les petites machines qui étaient souvent recupérées pour le service maintenance local ou délocalisées pour la maintenance de premier niveau des sites situés l'etranger car facilement transportables.
Ça devait se faire ailleurs aussi et ils manquaient probablement de perceuses par rapport à la demande la clientele. Ils ont dû importer des bécanes à bas coût pour satisfaire une clientèle qui ne pouvait pas acheter français et neuf.

À l'époque, on achetait encore des machines pour 40 ans en deux equipes de 40 heures par semaine. Bas coût n'etait pas synonyme de pacotille mais plutôt de classicisme. Le pas cher etait produit avec un outil de travail dejà amorti.
J'ai travaillé sur des machines Stanko. C'etait gris alors que les becanes francaises etaient bleues bi-ton RAL, avec des carters orange TGV. Mais les machines "Popoff" débitaient autant de copeaux que les nôtres.

Pour commercer avec l'autre côté du rideau de fer, on faisait du troc plus que des echanges de devises car il n'existait pas de parité avec le Rouble. L'ex URSS et ses satellites ne raisonnaient pas en termes de coûts de revient comme nous, mais plutôt en termes de besoin. J'ai besoin de cette technologie que je n'ai pas, je te propose à la place ce materiel que j'ai produit en quantité supérieure à mes besoin. C'est du bon materiel, mais il n'est pas innovant.
Presque cinquante ans plus tard l'avance technologique des occidentaux de l'epoque parait desuete. Après l'orange tégévé, le bleu 5012, le jaune 6018, on revient à des couleurs moins flashy. Les claviers multicolores ont laissé la place a des câbles ethernet. Et les bennes à copeaux pointent à Pôle Emploi.


Maintenant, en France, les entreprises achetent moins de machines que les particuliers. Les fabricants quasiment tous etrangers ont créé des machines très accessibles pour en vendre beaucoup. Les gadgets innovants, l'esthetique font vendre. Les machines à bas coût sont produites dans des usines ultra-modernes. La marge se fait sur les volumes et sur le lean manufacturing. Peu importe que ce soit durable ou pas, pourvu que l'acte d'achat soit declenché. C'est une approche diamétralement opposée.

Salut

Essayez „ PK203 Bohrmaschine „ , le NK203 est faux.

Bonne recherche