la possibilité de sortir de sa trajectoire idéal afin de lisser et éviter les à-coups
Ce que tu évoques correspond à un suivi de trajectoire discrétisé sous la forme de segments de droite
les surfaces complexes nurbs ou autres décrites mathématiquement finissent par être discrétisé
il est physiquement impossible de respecter le passage de chaque sommet à une vitesse constante
tu es obligé de respecter un arrêt ou alors le planificateur lisse chaque sommet par une parabole ou
un arc de cercle avec des paramètres de ton G64.
Dans le cas de ton alésage, c'est du G2 G3, le planificateur est capable de restituer
une trajectoire en arc de cercle à toute les vitesses, les accélérations sont lentement variables.
Les asservissements seraient ils largués ? En numérique un asservissement est cadencé
avec une certaine fréquence de boucle de calcul, à très haute vitesse de trajectoire ou peut imaginer
observer cette fréquence. Si tu baisses sensiblement cette avance au feed overide , juste sur une pièce,
observe t on encore ces facettes ? Ce "highspeed" correspondrait alors à une dégradation de la " raideur "
de l'asservissement donc augmenter potentiellement l'erreur de poursuite au profit d'une vitesse plus fluide .
(il y avait cette option sur d'anciennes Heidenhain pour favoriser un bel état de surface, avoir un croisement
de trait régulier lors d'une opération de surfaçage au tourteau, )
En pratique, ta vitesse d'avance serait de 2300 mm/mn soit 38 mm/s avec une boucle d'asservissement de
2 Khz cela nous ferait une correction tout les 0.02 mm rien à voir avec tes facettes ?
Avec une machine sans règle, les asservissements restent traités par chaque driver.
Avec règles il est probable que les asservissements sont traités ou complétés par le directeur de commande avec
un plus grand niveau de sophistication.
Sur une conventionnelle, avec un défaut de ce type, la première cause qui viendrait à l'esprit serait la broche .