En effet, faudrait déjà savoir à quoi tu destineras tes pièces !
Une imprimante 3D FDM, c'est finalement un beau gadget de geek (J'en ai 2, monté une dizaine, imprimé une 20aine de kits, je sais de quoi je parle !)
mais les applications de tes impressions ne sont pas si illimitées que ça, loin de là !
Si c'est pour imprimer des yodas qui prennent la poussière sur une étagère, ça va vite.
Le vrai challenge commence quand tu veux faire des pièces soumises à des contraintes mécaniques ou thermiques.
Pour 500/600€ tu auras une reprap style prusa ou équivalent avec une précision très relative (0.1 sur Z, fastoche. Sur X et Y, c'est plus difficile),
à recalibrer régulièrement, (la structure est assemblée partiellement par emboutissement, avec des pièces imprimées qui "travaillent")
C'est une maintenance de tous les instants.
Une fois la bête montée, calibrée, nouveau jeu : Tes sorties varient non seulement selon le type de plastique choisi mais aussi des paramètres plus exotiques: Depuis le même fournisseur, un simple changement de couleur peut faire varier la manière dont se comporte ton plastoc ou son point de fusion.
La température externe, le taux d'humidité peuvent également faire varier les côtes en sortie. Je parle même pas du refroidissement, du facteur rétractation et des techniques de sioux pour que la pièce ne se décolle pas du plateau chauffant ...
Une bonne impression 3D en FDM, ça doit être réalisé AMHA en atmosphère contrôlée avec une matière première constante.