Salut,
Psemel a raison, les capteurs paraboliques fonctionnent avec du fluide vapeur nécessitant une gestion plus pointue; il faut passer obligatoirement en circuit fermé par un échangeur ( il n'est pas question d'envoyer de la vapeur , vu le volume que génère l'expansion de celle-ci,dans une réserve d'eau chaude) . Gérer les surchauffes d'été sur les capteurs plans est déjà un gros souci . Une version de capteur parabolique est le tube sous vide , le fluide se vaporise et monte jusqu'à son extrémité en cuivre qui baigne dans la conduite vers la réserve où se trouve un deuxième échangeur (serpentin) pour que la qualité de l'eau sanitaire soit préservée, seules les réserves à destination du circuit de chauffage se passent de ce serpentin. Quant à la gestion de la température de l'ensemble, elle nécessite un circulateur sur chaque partie avec une régulation de vitesse dédiée, des sécurités multiples (manque d'eau, t°, pression, alimentation de secours), bref une usine à gaz.
les amis du forum
http://www.apper-solaire.org/ vous expliqueront tout cela en mieux.
Ce qu'il faut retenir, c'est que plus la température de fonctionnement d'un capteur solaire est basse, meilleur en est le rendement, plus simple en est le fonctionnement.
Par contre, dans le cadre d'une expérimentation personnelle, j'approuve la démarche, elle peut déboucher sur un stirling, voire même vu les températures pouvant être atteinte, sur la fonderie de certains métaux.
A+