La soudure autogène sans apport de métal anciennement cela se faisait à la forge, au chalumeau ou au crayon si alimenté par un poste à l'arc, donc homogénéité de la soudure en qualité, on chauffe jusqu'au blanc pour fondre le métal devenu liquide,
Je soudais des citernes en "4 en quart", les arêtes sont posées bord à bord, pose de points par la même méthode et puis soudure en chauffant alternativement les 2 arêtes, c'est la soudure la plus solide parce que de même qualité que les pièces soudées.
La brasure c'est un apport de métal à plus basse température, que s'il fallait fondre comme ce qui est décrit ici dessus,( économie de fusion, température orange rouge au lieu de blanc )
Stanloc le précise bien d'ailleurs il y a le brasage tendre et le brasage dur, pour une facilité , la soudure à l'argent et à l'étain sont à basse température,
Le brasage dur est avec des baguettes en laiton, plus ou moins riche en cuivre, donc brasage dur... S
i la soudure est de la couleur du cuivre, brasage semi dur , si ce sont des baguettes de laiton bien qu'employée parfois en carrosserie, la soudure à l'étain, au fer à souder électrique, au chalumeau comme une vulgaire marmite galvanisée!!!
Le TIG a remplacé le chalumeau, les postes à arc sont devenus des postes MIG MAG, MiG à fil fourrés, mais beaucoup de postes à souder à baguette travaillent encore,ils permettent aussi de souder en "4 en quart" plus rapidement qu'au chalumeau