Tour Julson 1201 sauvé du ferraillage

A

alainbiggun

Compagnon
bel ouvrage...

une fois repeint,il sera comme neuf,avec cette belle mecanique!
 
V

Vieulapin

Compagnon
Bonjour,

Beau travail, mais si je peux me permettre, je te suggère de fabriquer tes deux vis avec une tête carrée afin que la surface de contact soit plus large pour éviter que les têtes actuelles fassent leur empreinte.

 
M

MIC_83

Compagnon
Bonjour à tous et toutes,

Oui, tu as raison, sauf que j'y avais pensé mais ça ne résolvait pas le problème car l' entrée emménagée dessous pour leurs passage ne le permet pas (Ø de passage).
Bien cordialement
Michel
 
V

Vieulapin

Compagnon
Je pense qu'il doit bien y avoir un moyen d'aménager cette entrée, par exemple la mettre un peu plus carrée à la fraiseuse. En tout cas, c'est ce que je ferais.
 
M

MIC_83

Compagnon
J'en reviens à ce que vieux lapin a soulevé :

Ne pouvant jouer sur l'ouverture prévu pour leurs insertions, j'ai confectionné un petit montage
pour usiner la tête de mes vis pour qu'elles offrent un maximum de surface en contact avec les bords de la rainure circulaire.

Après tournage d'un cimblot, perçages/taraudages sur le diamètre inscrit de la rainure circulaire.






Pose de 4 vis en 8.8 acier en prenant soin de bien orienter les têtes.




Blocage via des contres- écrous.




Un tour de fraise intérieur










Un tour de fraise extérieur en décalant la bride à chaque approche gênante.




4 vis aux têtes mises en forme.




Mise en situation, ok, ça glisse.
Deux choix possibles :
- soit je laisse tel quel, les vis peuvent rentrer dans la rainures une fois la collerette déposée.
- Soit je réduit le Ø de la tête pour les faire rentrer par le passage aménagé.



Pour le moment, c'est la première solution qui a été retenue.
 
Dernière édition:
G

Gcrimi2005

Compagnon
Félicitations pour votre excellent travail de chirurgie esthétique.
 
V

Vieulapin

Compagnon
C'est mieux, mais à mon avis insuffisant. Mais c'est toi qui vois.

 
M

MIC_83

Compagnon
Oui, si cela venait à poser problème, je me résoudrais alors à agrandir l'entrée et refaire des vis à partir de tête "carrée".
Je retiens l'idée, merci lapinou !
 
M

MIC_83

Compagnon
On continue !
g) Arbre intermédiaire/poulies/support.

Ce dernier est un composé hétéroclite probablement issu de récupérations et d'adaptations.

1) Support de poulie

Tout est en fonte sauf la semelle et les demis flasques des boites à roulements qui sont en aluminium et des adaptations qui auraient mérité plus de soins dans leurs exécutions (fixations).




Les points d'articulation du tendeur sont "rapportés" et maintenus par des boulons sur les pattes soudées sur la semelle acier de forte épaisseur.






La partie fonderie "cassée" sur le logement du verrou.




Après un positionnement sur la fraiseuse, un coup de fraise pour araser la partie cassée




Usinage d'un fourreau épaulé en bronze pour servir de logement à la tige verrou.



Perçage à 9.7mm



Alésage 10 H7.




Coupe à la longueur d'un axe de récupération rectifié de Ø 10.
Décolletage du tenon du verrou Ø 8mm en bout et réalisation d'un filetage M6 sur l'autre bour pour visser la boule en bakélite.


Positionnement et perçage pour la pose d'un axe qui fera office de butée en Ø 3mm






Rainurage du fourreau du verrou pour passage de l'axe de buté.




L'ensemble presque terminé




Détail du passage de la butée du verrou en position haute = déverrouillé, on peut "tirer sur le verrou pour le libérer de sa "gâche" en arc de cercle.




Là, position basse et demi tour de la tige= verrouillage sur la "gâche".




Insertion du fourreau .




L'ensemble prêt à l'utilisation.





Position verrouillé. Il reste à percer la fonderie pour immobiliser le fourreau bronze via une vis pointeau.Opération qui sera réalisée plus tard, après peinture !

 
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V

Vapomill

Compagnon
Salut Mic!
Une autre solution, pour ne pas fragiliser la pièces, serait d'introduire tes vis en démontant la partie que tu as refaite.
Un mix de têtes de vis rapportées, usinées comme tu l'as fait pour les têtes H, et de tige filetée en 8.8 collée au bloc-presse, serait probablement beaucoup plus solide.
Cordialement, Bertrand.
 
M

MIC_83

Compagnon
Bonjour Bertrand,
Oui, c'est une autre solution que je retiens.
De toute manière, pour le moment ça ne pose pas de problèmes, je verrais si j'ai du temps pour les faire !

2) Reprise de la semelle du tendeur :
Comme précisé en début de post, la remise en état s'est étalée sur une longue période et les photos postées ne reflètent pas forcement la chronologie exacte.

Là, la pièce retouchée est déjà peinte, RAL 5017 brillant, comme toutes les autres pièces de la machine qui ont préalablement été soit sablées soit microbillées puis traitées en peinture poudrée que ce soit l'apprêt (zingué) ou la peinture, le tout, après passage au four.


La fixation de la semelle sur le support du tour dédié ne permettait pas de latitude sur le réglage de la tension de la courroie arbre intermédiaire/broche.




Usinages de boutonnières pour permettre un réglage plus fin.




En l'état, la courroie moteur//arbre intermédiaire avait tendance a "frotter" sur les bords de la semelle. J'ai raccourci cette dernière et "tombé" les angles pour éviter que le phénomène ne se reproduise.








Présentation sur le support afin de préparer la remise en route mais ce montage est loin de me satisfaire !

 
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M

MIC_83

Compagnon
3) Reprise et modifications des poulies aluminium de l'arbre intermédiaire et de la broche dans la foulée !


L'état de surface des gorges des poulie était tapissé de "bulles" de fonderie et les parties extérieures pas meilleures !


Dressage de toutes les faces et reprise des gorges à l'outil de forme préalablement affuté en conséquence.










Là, c'est la poulie de broche, reprise des flancs de gorges






La quatrième gorge n' est vraiment pas utile, les courroie type XPA n'acceptent pas de tel rayon ! Elle devait être utilisée en déplaçant la poulie de l'arbre intermédiaire latéralement.
Tronçonnage de cette partie





Dressage, voilà pour les poulies.

 
Dernière édition:
M

MIC_83

Compagnon
4) Usinages des butées latérales sur l'arbre intermédiaire monté sur roulements.


L'arbre intermédiaire est monté sur roulements, assemblage "glissant juste" pour une dépose simplifié de la courroie.
Néanmoins, rien n’empêche cet arbre de rester aligné à la poulie du tour, l'espace entre les deux paliers reste important pour justement permettre un déplacement latéral de la poulie.
C'est la raison d’être de ces butées.


chariotage à la cote souhaitée




Perçage



Alésage "glissant juste".






Réalisation d'un épaulement puis tronçonnage. opérations réalisées deux fois (deux cotés).






Perçages, taraudages pour loger un vis pointeau sans tête.





 
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M

MIC_83

Compagnon
5) Alésages des demis flasques abritant les cages de roulements pour permettre le passage des butées réalisées plus haut (appuie sur la cage interrière du roulement).


La peinture est très résistante, le serrage "léger" en mors dur ne l'a pas marqué.




Les demis flasques alésés




Présentation des butées




L'arbre intermédiaire remonté et aligné.

 
M

MIC_83

Compagnon
h) Remise en état de la poupée mobile :

1) Rappel de l'état de la poupée mobile avant sa remise en état :

Abîmée, salopée, modifiée, adaptée avec ce qu'ils avaient sous la main, système "D" !










2) Réalisation d'un nouveau boitier abritant la noix avec une fixation sur la poupée mobile plus "esthétique" !

J'avoue que je suis resté assez perplexe sur les possibilités de la remettre en état en conservant l'idée première d'une poupée "mixte" à levier et à manivelle !
Le boitier qui abrite la noix va resservir après modifications ainsi que sa noix en bronze.

La suite en images :
Débit d'un morceau de rondin en acier mi dur




Chariotage aux cotes définies




Dressage de la face





Alésage glissant juste au Ø des demis noix devant, à l'arrière au Ø extérieur de la fonderie.
Cette pièce va servi de futur boitier pour abriter les demis noix.




Parfait ça rentre "serré"




Montage de la broche de la poupée dans le mandrin, elle sert de support.
Vissage des demis noix et immobilisation de ces dernières avec la pièce tourné.




Réduction de la longueur de la noix sur sa partie non fileté.




Chariotage avec épaulement et réalisation d'une gorge de dégagement avant filetage.




Filetage réalisé, reste à faire son homologue femelle pour refermer le boitier !



 
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M

MIC_83

Compagnon
3) Récupération d'une partie du boitier existant et adaptation :

Tronçonnage du surplus




Réalisation d'une gorge de dégagement avant filetage en buté d'épaulement




Le demi boitier prêt pour le filetage




Prise de repères avant de se lancer, le fond arrive vite !




Filetage effectué après "X" passes




Essais de vissage de l'autre partie




Parfait, les parties sont jointives




Un rayonnage de la partie arrière du boitier pour l’esthétique




Un petit moletage pour faciliter sa dépose/repose

 
Dernière édition:
M

MIC_83

Compagnon
4) Détourage et assemblage du boitier abritant les demis noix sur la fonderie de la poupée mobile :


Apparemment, je n'ai pas fais de photos du détourage !
Bon, le travail est visible, la partie fileté mâle étant la plus longue et alésée du coté poupée au diamètre de la fonderie.
Le but à atteindre était de détourer la pièce pour ne laisser qu'une excroissance qui va servir à sa fixation d'une part et servir de fixation du "pied" sur lequel vient s'attacher la biellette du levier.

Là, le détourage est fait, je me suis un peu "manqué" sur un coté (coup de fraise.
Erreur de sens sur le diviseur lors du dégagement de la fraise !

Perçages et taraudages réalisés 3 fois sur 120°.






Lamage pour abriter un insert fileté intérieur/extérieur qui va servir de point de fixation solide.
La partie qui tombe en face dans la fonderie est taraudé pour recevoir l'insert.




Taraudage de la partie extérieur du boitier pour y visser le "pied" de biellette du levier




L'insert et le demi boitier




Pose de l'insert dans la poupée mobile




Vissage jusqu'à effleurement avec une "queue de cochon"




La partie extérieure du boitier




Passage de la queue de cochon au travers et dévissage de l'insert jusqu'en butée dans le lamage du boitier




Pointages et perçages de la fonderie au Ø 3.2mm de quelques mm sans déboucher pour loger les vis sans têtes préalablement usinées en bout à la même dimension.




Serrage des vis et immobilisation du boitier centré par sa broche durant l'opération.



 
Dernière édition:
M

MIC_83

Compagnon
5) Usinage du point fixe du levier , dit le "pied" et de ses acolytes qui ont reçues un lifting :

Après quelques mesures prises, débit d'un rondin et façonnage avec en préalable un filetage M8.




Décolletage et mise en forme




Réalisation de six pans sur diviseur.




Essais sur la poupée




rainurage pour le passage de la biellette à la fraise de 4mm Hss revêtue




Lamage des deux cotés du corps de la poignée du levier en aluminium et reperçage.
Le logement de la vis était ovalisé !






Réalisation de deux inserts en bronze percés qui iront se loger dans les lamages du corps




Mise en place forcée




Présentation avant finitions

 
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M

MIC_83

Compagnon
6) Réflexions et réalisation d'un tasseau de blocage de la poupée mobile :

Prises de cotes et réalisation d'un dessin pour visualiser précisément ou ça pourrait merder !
La poupée a une semelle épaisse et la hauteur du tasseau doit être suffisante sans toutefois être en contact avec la vis mère.
D'autre part, il ne le faut pas trop large pour l'insérer ou le retirer sans problème sans tout démonter à chaque fois. en effet l'échancrure du banc ne débouche pas !


Débit de matière, un bon bloc acier de section carré




Là, je fais le choix de débiter au plus près de la section souhaité




Dressage de toutes les faces, puis réalisation de deux épaulements






Perçage et taraudage pour immobiliser la vis




Le voilà terminé mai il nécessitera une reprise plus tard




La tête de la vis est noyée dans le tasseau




Voilà l'ensemble prêt à reprendre du service

 
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V

vwseb

Ouvrier
Je reste admiratif devant la qualité du travail (et envieux du matos utilisé )
 
M

MIC_83

Compagnon
i) Brunissage des pièces, toujours plus plaisant que des surfaces trop brillantes !


Bon, mon ancien bain a fait long feu, il ne me restait quasiment plus rien dans le bac !
Ce coup ci, direct en déchetterie classé en produit corrosif


une commande plus tard sur un site dédié, me voilà avec tous les ingrédients pour refaire un nouveau bain.
Note : Suivre la recette de Jean XIII sur le post idoine, pas d'approximation, c'est dangereux !




Après avoir composé ma mixture, mise en température de la friteuse




Les pièces à traiter, (bien dégraisser)




On atteint la bonne température, le bain frisonne, c'est le moment de tremper les pièces pour quelques minutes




Voilà le résultat après un bon rinçage et essuyage, puis un huilage généreux !
homogénéité des noirs même sur les grosses pièces








Le rendu est sympa, non ?

 
Dernière édition:
M

MIC_83

Compagnon
j) J'en termine pour la première phase par le moteur :

Démontage et contrôles des bobinages :


Coté isolation


Contrôle du bobinage auxiliaire sous 500v RAS, idem pour le principal que je n'est pas pris en photo !




Indication = infini




Idem entre bobine et carcasse




Contrôle des résistances :

Enroulement auxiliaire



2.71 Ohms




enroulement principal



1.33 Ohms



Bon, le moteur semble en forme coté électrique, le condensateur est bon.


Le moteur et sa plaque, notez la fixation cassée à l'arrière gauche :

La boite de connexions en plastique est "vaste" !




La fixation cassée




La plaque moteur




Remplacement des roulements et visualisations des bobinages :


Agréablement surpris par l'aspect des bobines et la "propreté" intérieure.








Extraction des roulements




Pose de roulements neufs NSK





Remontage du moteur et repose du ventilateur :

Là, faut resserrer la bague en aluminium sur le ventilateur en y allant doucement !




Le résultat

 
Dernière édition:
M

MIC_83

Compagnon
Part 5 : Préparation au remontage de la machine :
Les pièces sont entre temps parties au sablage/microbillage, avec une belle partie de masquage avant cette première étape et après pour la mise en peinture.
Je le réécrit RAL 5017 brillant, apprêt et peinture poudre avec passage au four.

a) Grattage/fleurage léger des divers éléments :

- Le banc : Contrôle de sa rectitude et des défauts d'usure :
Grattage très léger partout histoire de recréer des "poches" d'huile. Le banc à un "creux" de 0.02mm à 100mm du mandrin. Sa rectitude contrôlé à la règle grattée le confirme.
La planéité est plus que correcte des deux cotés du banc. En latéral, c'est plus marqué toujours au même niveau ou je relève 0.03mm sur la glissière avant.



Le trainard lardon serré se déplace facilement mais devient logiquement un peu plus dur coté poupée mobile.



Les cotés poupée fixe et mobile reste des surfaces de références




Tout le matériel est de sortie pour effectuer ces contrôles




Les glissières sont (étonnamment) au même niveau, je les aurais vu plus usées !






- Poupée fixe

La poupée fixe est bancale sur le banc, faut dire qu'en y regardant de plus près, elle est brute de fraisage !
Reprise des surfaces ou ça boite !
Le petit tube qui permet la lubrification du palier central de l'axe d'entrainement de la fis mère.




Par petites "touches" on insiste sur les points hauts




Là, ça commence à se densifier




Mon poste de travail improvisé, je me sers de l'étau de la fraiseuse qui est bien lourd





Là, je suis sur la fin




Un petit coup de comparateur pour évaluer les différences de parallélisme et l'état de surface, répétés des deux cotés.




Un creux de 0.008mm au milieu,



ça revient vers 0.005mm et on retourne au "0"







Là, ça va beaucoup mieux



La poupée fixe plaque bien partout

 
Dernière édition:
M

MIC_83

Compagnon
- Le trainard et la glissière du transversal :

Je n'ai pas les connaissances d'un gratteur pro !
Cependant j'y ai touché étant jeune (ajusteur mmécanicien) mais contrairement au vélo, le coup de main ça s'oublie !

Je ne m'attache qu'à aplanir les points hauts !
Partout ou des traces de frottements subsistent !
Un contrôle à la règle ou au petit marbre et au feutre (noir), le bleu ne me permet pas assez de contraste.












Le lardon du trainard





- Le chariot transversal glissière inférieure
Là, faut reprendre les deux cotés et égaliser pour






Passage au petit marbre






Le lardon maintenu par deux aimants puissant, une seule face grattée





- Chariot supérieur :
Je doit avoir le lardon quelque part !








 
Dernière édition:
M

MIC_83

Compagnon
b) Remontage du banc et de la vis mère :

Un montage pas à pas comme si vous y étiez !




Dans un premier temps c'est de ce coté que ça se passe !
Il faut assembler les pièces qui immobilisent la vis dans son palier, à savoir la douille épaulée et sa goupille.




Remontage de l'ensemble de la commande en respectant son orientation



Buté vers le bas






Là faut préparer le baladeur et sa clavette



Poser l'axe et le patin, maintenir l'ensemble à hauteur et pousser la vis mère vers la gauche




Opération loin d'être évidente quand on a des grosses paluches !
Là, c'est en place.




faut manœuvrer la commande vers la droite pour passer l'autre partie




En jouant sur l'axe coté lyre et en ayant placé le bon coté du perçage conique vers le haut, reste plus qu'à enfoncer la goupille conique.






On s'assure que la commande fait bien son office (embrayée)




Dernière étape, remontage du "bouchon" fileté" qui permet de régler le jeu






Pour arriver à un résultat correct, j'ai fabriqué un petit outil






Voilà ma clé de serrage




Qui fait le travail demandé avec précision




Une fois le jeu réglé, faut immobiliser le noyau fileté pour éviter qu'il se desserre lors des multiples manœuvres de cette commande.






La vis pointeau se cache dessous.



On termine par un coup de burette dans chaque orifice aménagé à cet effet sur tous les paliers.
 
Dernière édition:
K

KITE

Compagnon
Superbe travail et superbe reportage !
Il y a de la compétence ! sans compter le matériel et le temps passé.
Excellent.....
 
M

MIC_83

Compagnon
c) Assemblages du trainard du chariot transversal et du petit chariot :

Bon, ai repris deux photos du grattage qui permettent de bien visualiser le montage du trainard.
A l'avant une plaque épaisse ajusté et maintenue par 4 vis, à l'arrière le lardon contre la demi queue d'aronde sur laquelle viennent s'appuyer 2 vis pointeaux de Ø 8mm de part et d'autre et au milieu la vis de serrage avec le bouton moleté.




Pour la pose, de l'huile sur les portés, dépose de la plaque inférieure avant, engagement de la demi queue d'aronde avec son lardon sur le banc, repose de la plaque inférieure avant.
Simple, non ?




montage du palier de la vis du transversal vissé dans la fonderie.
Il faut faut faire coïncider les perçages du palier et de la fonderie pour lubrifier la buté de réglage du jeu.




L'enjoliveur avec le marquage du "0" qui propose 3 taraudages à 120° qui doivent également coïncider avec ceux du palier disposés sur sa périphérie.




Toutes les vis on été remplacées, certaines en standard "SI" ou j'ai repassé un taraud en "ISO".
Là, des vis sans tete 6 pans creux.






pose du "noyau" fileté, montage vu sur le coté vis mère, un coup d'huile et hop !



L'outil réalisé est utile





Le réglage fait, immobilisation du noyau par vis pointeau. Une des trois vis sur la périphérie





Perçage de part en part de la vis sans tête qui immobilise le palier dns la fonderie pour la lubrification de la buté de réglage du jeu de la vis.





La voilà à poste et accessible pour un coup de burette de temps en temps.
Le tambour avec sa gravure encore bien visible !

 
Dernière édition:
M

MIC_83

Compagnon
d) Réalisation d'une protection de la glissière arrière du transversal et de sa vis :

coupe d'un morceau d'inox 304L pour réaliser la liaison plaque de recouvrement et chariot transversal.




Surfaçage des faces et des deux bouts.






pointages/perçages/taraudages M6 / chambrages, opérations réalisé 4 fois.




Pliage de la tôle inox dédiée en 2mm sur ma Jouanel toujours vaillante malgré son exil sur l'établi dehors 'sous drap et bâche) !






La protection percée et fixée sur son support.




Le dessus




Et son montage en utilisant les trous taraudés existant.
Les copeaux n'auront qu'à bien se tenir !

 
Dernière édition:
J

jeandupont

Compagnon
Ouaaaa ! j'ai du rater ce post mais ce qu'il s'y passe ici est du très grand art , impressionnant , et le bronzage là je suis en " PLS "

Il me faut aussi relire le fameux post sur le bronzage .

Allez on relis depuis le tout début après le manger , bon plan il y à keud à la télé
 
M

MIC_83

Compagnon
Jeandupont, j'y suis depuis ce matin à poster !
tu as du retard à rattraper.

e) Surfaçage du chariot supérieur, réalisations de diverses opérations et assemblage :

Positionnement et perçages pour un rivetage de plaque qui représentera le point milieu




pose de rivets striés




La plaque en place




Un traçage plus tard.




Surfaçage du petit chariot au niveau de la tourelle porte-outils qui n'était pas très plane !






Détail de la vis de tourelle à emmanchement conique.




Les pièces pour le remontage du petit chariot, toujours sur le même principe.






Taraudage et remplacement de la vis de blocage du palier sur la platine du petit chariot.





Grattage de la peinture pour libérer les portés de contact.




Le noyau, celui la est en fonte, huilage et pose.








Réglage du jeu et immobilisation du noyau via une des 3 vis en périphérie.




Le tambour gradué bien lisible.




L'indication de la précision d'une graduation.




Les nouvelles vis pointeau 6 pans creux sans têtes, un taraudage s'est là aussi imposé, tout était en standard "SI".

 
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