Je ne pense pas que tu prennes le problème par le bon bout...
Normalement, on commence par concevoir la mécanique en fonction de ce qu'on veut faire et des performances souhaitées => on quantifie les efforts et donc les puissances nécessaires => le type et la puissance des moteurs => la puissance de ou des alimentations nécessaires.
Après on fait son marché. Si on explose les budgets, on réduit ses prétentions et on recommence. Pour une CNC plasma de grande dimension, ce n'est pas l'électronique qui pèsera le plus lourd. Comme écrit souvent par les uns ou les autres : c'est affaire de choix, de compromis et de réalisme (vouloir la précision du 1/100ème d'une vis à bille sur un débattement de 2m avec une découpe plasma c'est farfelu !)
La copie servile d'un modèle qui marche est aussi une bonne solution. Dans ce cas, on copie servilement et on ne prend pas d'initiative malheureuse. Exemple : si tout le monde utilise des courroies en X et Y pour les grandes machines, on ne se pose pas de question : il y a de bonnes raisons, entre autres les vitesses des déplacements.
Séparer les drivers et/ou les alimentations réduira les interférences entres eux. Par contre, séparer les alimentations ne permettra plus de bénéficier du "foisonnement" (exemple : obligation de 3 alim. de 10A là où une seule de 20A aurait suffit). La mode semblerait être actuellement à la séparation des drivers... Les cartes uniques prennent pourtant moins de place. De toute façon, quand on en est à faire les choix de l'électronique, le cahier des charges de la machine est largement plus avancé que d'avoir uniquement une petite idée des dimensions.