W
whisper
Apprenti
Au cours de mes pérégrinations sur l'internet, je suis tombé sur ce lien : http://www.lathes.co.uk/nora/
Qui présente une très vielle machine (plutôt rare d'après l'article, 1950), et je dois dire que son architecture m'a beaucoup intrigué.
Quelqu'un connaît ce modèle ?
Je vois des contre pointe sur la table. J'ai vu quelque chose de similaire sur une Aciera F1.
Peut on dire qu'il s'agit de l’ancêtre du Tour combiné fraiseuse ?
Apres vérification de la traduction automatique, ça me semble lisible, je vous la partage ici:
Fabriquée en petit nombre au début des années 1950 par A. Nothelfer & Söhne, à Ravensburg, dans le sud de l'Allemagne, la Nora était une fraiseuse de précision miniature inhabituelle - et maintenant très rare - et une perceuse coordonnée. Breveté sous le numéro 813923, déposé en juillet 1949 et accordé en septembre 1951, il employait une combinaison de caractéristiques vues dans trois autres modèles intéressants: l'Ames "Triplex", l'Arboga UM400 et l'Aciera F1. Arboga et Aciera ont tenté, comme le Nora, de combiner une polyvalence maximale avec une grande précision et, bien que l'Aciera y parvienne sans aucun doute (en combinaison avec une large gamme d'accessoires), son prix de vente était astronomiquement élevé. Adoptant une approche plus simple et plus abordable, le Nora a monté sa tête et son moteur (avec entraînement par une courroie trapézoïdale étroite) sur un bras en forme de faucille qui lui permettait d'être déplacé de l'horizontale à la verticale - et également verrouillé dans n'importe quelle position intermédiaire . De section prismatique (permettant d'obtenir un verrouillage puissant) le bras était équipé d'une échelle à 90 degrés avec l'aiguille montée sur la tête gravée d'un vernier sacle Développant 200W et fonctionnant à 2300 tr / min, le moteur triphasé assez long équipé en standard ne donnait que trois vitesses de broche - 700, 1400 et 2800 tr / min - où quatre (ou six, en utilisant un moteur à 2 vitesses) auraient été plus utiles. Bien que l'utilisation d'un bras courbe aurait nécessairement imposé une limitation de la rigidité globale, la machine n'étant destinée qu'à des travaux légers, cela n'aurait pas été un inconvénient pratique.
Qui présente une très vielle machine (plutôt rare d'après l'article, 1950), et je dois dire que son architecture m'a beaucoup intrigué.
Quelqu'un connaît ce modèle ?
Je vois des contre pointe sur la table. J'ai vu quelque chose de similaire sur une Aciera F1.
Peut on dire qu'il s'agit de l’ancêtre du Tour combiné fraiseuse ?
Apres vérification de la traduction automatique, ça me semble lisible, je vous la partage ici:
Fabriquée en petit nombre au début des années 1950 par A. Nothelfer & Söhne, à Ravensburg, dans le sud de l'Allemagne, la Nora était une fraiseuse de précision miniature inhabituelle - et maintenant très rare - et une perceuse coordonnée. Breveté sous le numéro 813923, déposé en juillet 1949 et accordé en septembre 1951, il employait une combinaison de caractéristiques vues dans trois autres modèles intéressants: l'Ames "Triplex", l'Arboga UM400 et l'Aciera F1. Arboga et Aciera ont tenté, comme le Nora, de combiner une polyvalence maximale avec une grande précision et, bien que l'Aciera y parvienne sans aucun doute (en combinaison avec une large gamme d'accessoires), son prix de vente était astronomiquement élevé. Adoptant une approche plus simple et plus abordable, le Nora a monté sa tête et son moteur (avec entraînement par une courroie trapézoïdale étroite) sur un bras en forme de faucille qui lui permettait d'être déplacé de l'horizontale à la verticale - et également verrouillé dans n'importe quelle position intermédiaire . De section prismatique (permettant d'obtenir un verrouillage puissant) le bras était équipé d'une échelle à 90 degrés avec l'aiguille montée sur la tête gravée d'un vernier sacle Développant 200W et fonctionnant à 2300 tr / min, le moteur triphasé assez long équipé en standard ne donnait que trois vitesses de broche - 700, 1400 et 2800 tr / min - où quatre (ou six, en utilisant un moteur à 2 vitesses) auraient été plus utiles. Bien que l'utilisation d'un bras courbe aurait nécessairement imposé une limitation de la rigidité globale, la machine n'étant destinée qu'à des travaux légers, cela n'aurait pas été un inconvénient pratique.
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