---> Moissan . J'ai lu l'article dans les grandes lignes voici ce que j'en ai compris
"As the L912 Injector releases superheated water, this water turns to flash steam as it enters the engine, for one reason only, the inside of the engine has a pressure of about 125psi. The injector on the other hand is carrying between 2000psi and 700psi, and the water is around 350*f."
"L'injecteur relâche de l'eau surchauffée, cette eau donnant de la vapeur flash au moment de pénétrer dans le moteur, l'intérieur du moteur est à une pression de 8,6 bars. D'un autre côté l'injecteur amène la pression entre 138 bars et 48 bars, et l'eau est à environ 177°C"
Il s'agirait donc d'une vaporisation flash telle que pratiquée dans l'industrie. Ce qui est injecté c'est de l'eau surpressée surchauffée. Il est assez facile avec des pompes à palettes ou à engrenages d'atteindre 150 à 200 bars pour pressuriser de l'eau à introduire dans une chaudière. Il faut cependant compter cette énergie dans le bilan de consommation, tout comme le réchauffage du bloc moteur qui, lui, peut se faire à partir de la vapeur basse pression d'échappement
La vapeur produite par laminage (ouverture de l'injecteur) est refroidie par de l'eau qui par la même occasion se vaporise. C'est un échangeur à mélange en quelque sorte comme dans les machines à expresso des cafés. La pression moyenne serait de 8 bars (125 PSI). 8 Bars et 177°C on est en vapeur légèrement surchauffé.
Par contre j'ai pas compris son histoire de cycle à 4 temps et le fonctionnement réel. Je ne vois pas l'intérêt de re-comprimer de la vapeur pour la détendre tout de suite après.
Finalement l'exposé n'est pas très claire. Je me méfie de ces articles destinés à la promotion d'une invention, qu'ils émanent d'un individu isolé ou d'une start-up. Ils ont tendance à surévaluer le procédé. L'intérêt de son site c'est qu'il semble réussir à faire marcher son bazar.
Bonne soirée