Bonjour,
D’autres personnes donneront leurs avis avant acquisition.
En réponse à cette sollicitation je me permets de donner mon avis, celui d’un amateur, tout comme coquillette.
J’ai les ouvrages : Théorie d’Horlogerie, les 3 tomes de Maurice Vial, l’Horloger à L’Etabli, l’Horloger et son Tour, les livres sur les Pendule de Paris (R. Chavigny), les 400 jours, etc , bon nombre d'Ouvrages Techniques en Anglais, ceux pour les collectionneurs (les Tardy, dictionnaire et Pendules) ,toutes les parutions de l’A.F.A.H.A. depuis le N° 51, etc..... (et bien sûr le petit livre jaune N°14 Horlogerie ainsi que l'ABC de l'Apprenti Horloger, de Bourdais,..... au temps où j'étais en culotte courte
).
Si je ne devais en garder qu’un seul ce serait: Théorie d’horlogerie, entre autres choses parce qu’il est indispensable pour bien comprendre les montres et le réglage de leur échappement, pour lesquelles l’intuition et le simple bon sens mécanique ne suffisent pas, alors qu’ils permettent de s’en tirer vaille que vaille pour les horloges.
Mais pour quelqu’un qui déclare comme coquillette qu’il ne veut pas travailler sur les montres, les ouvrages de Vial sont peut-être préférables pour commencer (leur prix très raisonnable lors de leur parution initiale lorsque je les ai acquis a bien augmenté me semble t’il depuis leur reprise par d’autres).
Concernant la notion de «roue de moyenne», je n’ai pas d’éléments me permettant d’entrer dans cette discussion. Je me contente juste de citer sans donner d'avis, ce qui en est dit dans un ouvrage, ...dont je ne suis pas sûr qu'il détienne la vérité en la matière.
C’est le Dictionnaire Professionnel Illustré de l’Horlogerie en quatre langues, de G.-A. Berner. Je le consulte seulement pour les traductions, pas pour apprendre l'horlogerie.
« Dans le rouage de la montre, la
roue moyenne est celle qui suit la roue des minutes. Les horlogers appellent
grande moyenne la roue des minutes et
petite moyenne la roue moyenne.
Ces dénominations n’ont plus leur raison d’être ; elles étaient compréhensibles dans les montres à roue de rencontre, c’étaient les deux roues plates entre d’autres qui ne l’étaient pas (barillet et roue de chant) ».