Restauration Une Kalinka de plus - STANKO 6T75

Merci Daniel pour tes bons vœux. Qu'il en soit de même pour toi et ceux qui te sont chers.

Pour l'électro-aimant, la réponse est dans la légende des photos (220V).
Quant à la visserie, je m'étonne également... mais je fais avec. En fait, pas complètement ... car j'ai entrepris de remplacer une partie de la visserie. Certaines vis tête fendue sont passées lors de l'inspection/mise à jour en version Torx pour plus de facilité en vue de montages/démontages plus faciles.
Sinon, j'ai effectivement failli me retrouver avec une pièce "en trop" lors du remontage... le recours à l'album photo de famille m'a finalement permis d'identifier sa provenance et tout est rentré dans l'ordre.

Très courte trêve pour le jour de Noël. Mais, comme je pars en mission technique en Hongrie pour 8 semaines dès le début Janvier, j'aimerais bien remonter le moteur avant mon départ.

Bon... une partie des fêtes étant derrière nous, on se remet au travail.
Aujourd'hui, c'est remontage du moteur.
Pour éviter de porter les 45kg du monstre en permanence pendant le remontage, construction d'une petite plateforme qui permet de faire glisser le moteur en douceur...


J'en ai profité pour mettre un passe-fils/presse-étoupe qui faisait défaut...

Vue de l'antre du monstre...

Une fois le moteur en place, il faut encore le relever pour pouvoir insérer les 2 courroies. Sans l'aide d'un levier c'est mission impossible au regard de la masse à soulever et du porte à faux...


Et voilà ! mission accomplie et paré pour une nouvelle vie...


Mise en route... ça ronronne doucement. Rien à voir avec le bruit original avant la grande révision.
Un régal !

A plus tard pour la suite des aventures.

Et on s'y remet...
Aujourd'hui, c'est remontage des diverses trappes d'accès avec leur étanchéité à la Loctite SI5910.
Comme je trouve que l'embout de la cartouche dépose un filet un peu large et un peu épais à mon goût, j'ai transvasé une quantité de produit dans une grosse seringue avec une aiguille plus fine (orifice Ø1mm environ). Du coup, ça fait un joli filet largement suffisant après écrasement pour assurer l'étanchéité puisqu'il n'y a pas de pression à contrer... et surtout, ça ne dégueule pas partout sur le bâti autour des couvercles (ça , je trouve que ça fait crade... )
En cas de débordement intempestif, nettoyage de l'excédent avec du White Spirit.

Donc; démontage partiel des 2 couvercles de sélection de vitesse de broche et de vitesse d'avance pour les éloigner d'un gros centimètre du bâti (mais sans faire sortir les index de leur gorge de baladeur respective sinon c'est un peu galère à remettre en place...)
Ça laisse assez de place pour passer un petit coup de nettoyage à l'acétone puis déposer le cordon de produit Loctite d'étanchéité. Le cordon est positionné 5mm en retrait du contour. De même, les collerettes des vis reçoivent elles aussi un petit filet de produit car les trous taraudés d'accueil débouchent dans la boîte de vitesse.

Je termine par le couvercle de remplissage de boîte qui porte également le hublot témoin de fonctionnement de la lubrification.
J'ai fait refabriquer le verre synthétique de la vitre (fraisage CN sur la Datron du boulot ... merci les copains) qui était fendu à réception de la machine. J'ai aussi refait la peinture blanche du fond de témoin (peinture époxy en bombe).

Ensuite, le plein d'huile ISO VG68 (2,250 litres)


Pour les yeux observateurs, il reste encore à remplacer le bouchon de bouteille de Porto... par un article plus "industriel"

Les 2 graisseurs/huileurs de broche horizontale ont également reçu leur dose d'huile bienfaisante et... FEU ! Enfin... MARCHE !
Ça ronronne de bonheur
La pompe de lubrification envoie régulièrement une giclée dans les circuits; ce que montre la pulsation visible au niveau du témoin :



Je laisse tourner 250 tr/min pendant 30 minutes.
RAS, tout va bien.

Donc, fermeture des capots sur l'arrière machine. (Je règlerais plus tard le fonctionnement de l'électro-aimant des rapides)


Et sur l'avant (boîte de transmission des avances)

Notez que j'en ai aussi profité pour remonter le pare-copeaux de dessus de console après l'avoir décapé.

Les travaux de restauration vont s'arrêter là pour le moment en attendant le mois de mars. A ce moment là, je vais sans doute déposer complètement le chariot longitudinal ainsi que la console du Z.

La peinture sera quant à elle, pour avril ou mai...

Pause.

Voilà pour les gros travaux, c'est terminé pour quelques temps.

MAIS... il y a déjà dans les cartons, des petites choses ... comme l'équipement avec des règles numériques sur les 3 axes. Je vais d'ailleurs m'inspirer en partie du travail réalisé par @LHM sur ce point.
J'ai déjà les règles en verre 5µm en course 200mm et 300mm. Il faut "juste" concevoir et réaliser leurs fixations.

Je ne pars pas sur une visu/DRO classique, mais sur le module TouchDRO - BlueTooth de Yuriy Krushelnytskiy (Yuri's Toys) que certains membres du forum connaissent.
C'est une évolution des DRO du commerce qui s'interface avec une tablette. Et je trouve cette solution moins mastoque (encombrement) et surtout plus performante que les modèles basiques chinois. Je reviendrai là-dessus le moment venu.

Wait and see comme disent les anglais...

Et me voilà, de retour... avec la suite du feuilleton.
Pendant mon absence, mes amis chinois ont bien travaillé
Un nouveau soufflet de protection des glissières verticales m'attends. En effet, le soufflet d'origine est parti en morceaux lorsque j'ai voulu le remonter il y a 15 jours. Donc relevé de cotes et demande de devis pour un soufflet sur mesure avec réponse le jour même.
Ça s'est du service !

Petite évolution technique; j'ai opté pour une version cuirassée qui a l'avantage de ne pas accumuler les copeaux...
Prix de la chose ? 61,20 EUR port compris... (ici : BeiFute Official Store)


Au passage, vous noterez que j'ai aussi remonté la tête de fraisage/perçage verticale...

J'ai juste fourni un petit dessin avec les dimensions désirées:

Le vendeur indique une dimension repliée de 100mm mais en enlevant la dernière plaque (plaque inférieure tenue par 2 clips métal) on retrouve nos petits (les 60mm maxi)


J'ai finalement dû agrandir la cote de largeur de 261 à 263mm pour que tout coulisse librement et j'ai aussi enlevé la lame inox la plus basse.
Le cadre inférieur du soufflet est fixé au pare-copeaux par 2 vis + écrous (réutilisation des perçages existants pour l'ancien soufflet)
Notez sur les renforts de soufflet, les petits retours formant crochets à l'arrière de la glissières.

J'avais déjà vu ce type de "soufflet/cuirasse" sur d'autres fraiseuses et j'étais bien tenté d'en faire autant sur la Stanko.
Je suis vraiment satisfait de la nouvelle protection.

LHM a dit:

Le tome I est savoureux, à savoir que le tome II est attendu / rééducation et maquillage
ainsi que le tome III pour décrire les premiers entrechats.

Cliquez pour agrandir...

... Daniel, avant le maquillage, je lui ai fourni finalement quelques accessoires vestimentaires en attendant la toilette d'apparat.

Bat74 / Philippe

Chez BeiFute (cf le lien Aliexpress que j'ai communiqué) ils ont plein de modèles différents mais ils font aussi du spécifique adapté à la demande. Celui de la Stanko est dans ce cas avec ses dimensions particulières et ses petits crochets (retours) pour tenir sur l'arrière des glissières.

Ça y est, j'ai retrouvé la photo qui m'avait mis en appétit... C'est celle-là :

Du coup j'ai fouiné un peu partout en attendant de trouver mon bonheur... Et paf ! un beau jour j'ai trouvé.

@LHM : Daniel, OUI, j'ai bien remonté tout le fourbi dans la boîte aux mèches.

Si tu veux le même :
1- fais modifier la cote de 261mm à 263mm
2- fais modifier la cote de 26mm à 27mm
Ça t'évitera d'avoir à retailler pour que ça coulisse correctement...
Le dernier volet inox (celui du bas) est à enlever car pas utile et contrarie le montage sinon.

Pour la fixation:
1- Perçage du renfort inférieur en correspondance avec les 2 trous de la plaque pare-copeaux de la console mobile et fixation par vis-écrou
2- Confection d'une plaque de couverture supérieure (300 x 50 mm) à percer en concordance avec les 2 trous de sommet de glissières
3- Le renfort de soufflet supérieur est fixé à la plaque de couverture par 3 vis en prise dans 3 taraudages à réaliser dans le renfort.

Bonsoir tout le monde,
Avec l'âge qui avance et la vue qui baisse... et à défaut de vos lumières, j'ai remplacé la luciole d'origine par un phare moderne.
Que la lumière soit !

La vache... les LEDs ça éclaire un max !
J'ai opté pour un modèle étanche avec une vitre en verre trempé. Le tout en provenance On verra à l'usage, mais en tous cas elle semble de bonne facture.
J'ai aussi remplacé le bras initial puisqu'il fallait de toute façon refaire des fixations spécifiques. Là également, je n'ai pas réinventé la roue ni l'eau chaude. Ça existe tout fait à des tarifs très acceptables avec des possibilité de réglages intéressantes (support réglable pour écran)

Pour l'instant, le raccordement électrique est provisoire et sera refait prochainement au standard industriel.
Fin de bavardage; place aux images ...


Fixation sur le côté gauche dans des taraudages existants. Le maintien du bloc se fait via un étrier avec 2 vis de pression

qui poussent le bloc contre le mors fixe visible ici. Il y a un paquet de LEDs... (60 en fait). Le bras permet une grande latitude de réglage de la source lumineuse et reste naturellement dans la position où vous le lâchez.

Et ça éclaire... nettement plus que le lumignon précédent. Faudra veiller à l'orienter correctement pour ne pas s'éblouir...


Au passage, vous aurez peut-être remarqué également du changement côté gauche de la machine... Sur la 1ère photo, on distingue partiellement la règle numérique de l'axe Y. Ça progresse donc aussi de ce côté là; mais j'y reviendrait en temps voulu.

A bientôt

Et bien, on a aussi des poètes/troubadours sur le forum maintenant
Bonsoir Daniel ! Et les autres aussi.

Allez, encore quelques photos pour illustrer les avancées (timides) de ces derniers temps.


Implantation des règles numériques d'axes. Bon... c'est des chinoiseries mais ça fonctionne très bien. (version 5µm)
Reste plus qu'à fabriquer la fixation du curseur du Z sur la console et monter la règle du X.

Et ça ? Qu'est-ce que c'est ? ...

L'ébauche du nouveau tirant en M16.
L'original est en M14 mais limitait l'usage de cônes CM4 modernes sur la broche horizontale... Pour la broche CM4 tête de fraisage verticale en CM4, ça reste un problème à cause du diamètre de passage trop faible...
Du coup, j'en refabrique un à partir d'une tige filetée M16 (classe 12.9) associée à un carré de manœuvre en XC48 (javais que ça d'un peu coriace en stock dans le bon diamètre).
Pour éviter que ça gratte dans le fourreau de broche lors de l'insertion/extraction, j'ai chemisé la tige filetée avec un tube centré et arrêté par une bague filetée.
Reste plus qu'à usiner le carré de manœuvre.
Ce n'est pas forcément très orthodoxe comme montage, mais c'est fonctionnel...

Faudra peut-être que je trempe l'extrémité en XC48 histoire qu'elle ne mate pas trop vite... Qu'en pensez-vous ?

Et hop sur le métier remettez 100 fois votre ouvrage... suite des opérations Stanko6T75.

Comme il fait beau, la température dans l'atelier est redevenue propice à de nouveaux travaux. Aujourd'hui on s'attaque à la console qui me nargue depuis un bon moment.
Dépose des manivelles et de la suite de bagues et tambours. Dégraffage du soufflet qui n'a finalement pas trop souffert des outrages du temps et des copeaux.
Après enlèvement des vis qui tiennent la lyre de droite, la vis côté droit se défait tranquillement en dévissant tout simplement jusqu'à ce quelle sorte. Côté gauche, la vis qui est en fait simplement un arbre vient partiellement. Quelque chose empêche sa sortie... On verra plus tard.

J'enlève les 2 vis qui bloquent le lardon de chaque côté. Un petit coup de jet bronze côté droit et le lardon recule. Du coup le coulisseau peut maintenant se déplacer sans forcer. J'envoie ce dernier vers la droite pour dégager l'accès à gauche permettant d'enlever la plaque qui cache le mécanisme.
Bingo ! la plaque enlevée livre son secret : il y a un pignon attaché en bout de l'arbre qui ne voulait pas sortir.
Dépose de l'arbre de gauche et début des opérations de nettoyage; vieux dépôt gras et copeaux. Tout ce qui se démonte file à la lessive.
Les cavités sont copieusement aspergées de pétrole. On finira la toilette demain quand ça aura bien détrempé.
Donc pour le moment rien de bien compliqué.
Demain je remonte la chèvre pour déposer complètement le coulisseau.

Place aux photos...

Ah... il y encore une mèche capillaire ici ... Et je ne vois pas très bien se que faisait cette goupille dans le trou central ?


L'arbre de manœuvre côté gauche retenu par ... quelque chose. A droite, le soufflet semble bien conservé.


La vis de droite déposée en dévissant simplement... A l'extrémité, la fameuse clavette qui a tant fait pester @KSO ...


Vis de retenue du lardon côté gauche. La même chose côté droit...


Maintenant on peut décaler le coulisseau pour libérer l'accès...


Après dépose de la plaque, accès aux entrailles et à la vis pointeau qui retient le pignon. Là encore freinage par jonc passant dans la fente...


La prise de force en provenance du boîtier de transmission. Y'a plus qu'à nettoyer tout ça...

Dernier détail, le dispositif de rattrapage du jeu du longitudinal monté au niveau de l'écrou en bronze :


Voilà. C'est tout pour aujourd'hui. Suite demain sans doute

LHM a dit:

PS: Par où passent tous ces copeaux ? et la petite mèche, où prends elle sa source ,

Cliquez pour agrandir...

Bonsoir Daniel,
pour moi, la présence de ces copeaux à certains endroits reste également un mystère ...
Pour la petite mèche, sa source n'est pas bien loin :

C'est le graisseur situé sur le tambour...

Quant à mourir sous le joug... loin s'en faut ! Je travaille à un rythme de tortue... @Geoff87 , lui, travaille à un autre niveau de performance.

Demain, je remonte ma grue d'atelier (démonté ça prend moins de place) pour enlever le coulisseau histoire de pas me faire de misère (suis pas une force de la nature donc j'utilise beaucoup les moyens de manutention existants ou alors je m'en fabrique à l'occasion)
Une fois le coulisseau retiré je vais enfin pouvoir m'attaquer à la rénovation des blocages des axes qui ne bloquent absolument rien pour le moment, même serrés à fond...

Salut Geoff,
et bien oui, on poursuit le démontage petit bout par petit bout... et peut-être que finalement j'aurais tout démonté à la fin...
Le problème avec ces machines, c'est qu'il faut parfois beaucoup démonter avant d'accéder à la partie qui t'intéresse.

Bon, aujourd'hui c'est les grandes manœuvres. J'ai remonté la grue histoire de soutenir l'effort lorsque le coulisseau va quitter ses glissières.
Et comme dit précédemment, comme je ne suis pas une force de la nature, je préfère prendre mes précautions.
Le coulisseau élingué glisse gentiment et sort comme une fleur. J'ai maintenant accès complet à la console et je vais aussi pouvoir m'occuper de la face cachée du coulisseau.



La partie gauche est déjà nettoyée. Plus qu'à enlever le dernier cache pour ensuite terminer la toilette de la vieille dame.


Effectivement, les copeaux se faufilent partout...


La face cachée du coulisseau. Là aussi copeaux à gogo. Et je vais enfin avoir accès complet au dispositif de blocage du chariot.


Des copeaux, encore des copeaux...

A suivre...

Aujourd'hui, c'était remontage du coulisseau et réglage du frein de longitudinal qui avait été déposé également pour déblocage/nettoyage.

Les glissières du coulisseau ont un peu ramassé... Il y a de grosses griffures à divers endroits mais ça ne doit pas impacter le fonctionnement ni la géométrie machine (il n'y a pas de bavure qui dépasse). Nettoyage et re-huilage et on re-enfile le coulisseau sur la console.
Une série de va et vient histoire de voir si tout va bien et on enfile ensuite le lardon par le côté gauche.
Nouveaux va et vient et réglage du jeu du lardon à l'aide des 2 vis en opposition.

On déplace le coulisseau tout à droite.
Insertion de l'arbre (en rouge) côté gauche puis montage du pignon d'extrémité et bocage avec sa vis pointeau et son jonc d'arrêt.
Il va rester en l'air en attendant le remontage de l'arbre du côté droit.

Maintenant, insertion de la vis de manœuvre du longitudinal (partie en vert du dessin ci-dessous) avec sa clavette montée en bout (en rose sur le dessin) . Ça rentre simplement en vissant dans le sens anti-horaire (l'utilisation de la manivelle aide bien...). On visse jusqu'à ce que la platine de droite vienne en butée et on la fixe avec ses 4 vis.
On accroche le soufflet de protection sur la bague de retenue avec son anneau fendu. Voilà, c'est tout pour ce côté pour le moment.


Maintenant, en tâtonnant un peu on insère l'arbre de gauche sur l'extrémité de l'arbre de droite en faisant coïncider le logement taillé dans le pignon avec la clavette. En fait ça se fait assez bien ...
On repositionne ensuite la platine de gauche et on la fixe après avoir remonté la bague à crabots sur l'arbre.
On termine le remontage avec les tambours et volants des 2 côtés.
Rien de compliqué en fait...

Côté frein/blocage du transversal; les pièces déposées avant nettoyage:

Lorsqu'on active le levier ça provoque le serrage de l'ensemble et les 2 cames à pente se rapprochent l'une de l'autre. Se faisant, elles se déplacent vers le haut tout en poussant les pistons de bridage contre le lardon qui serre à sont tour la glissière de la console.
Simple et efficace comme principe.
Le réglage du serrage se fait via les 2 écrous à créneaux.

Prochaine étape, le démontage/nettoyage/réglage du frein d'axe Z qui ne fonctionne également plus

Bonne fin de weekend à tous.

LHM a dit:

Bonjour Philippe,
N'oublie pas, c'est le jour le la messe !

Cliquez pour agrandir...

Ben, alors du coup... je célèbre donc le génie mécanique des soviétiques...
Pas de travaux aujourd'hui. C'est relâche, rangement et nettoyage.

Au passage, quelques photos de la belle après remontage du coulisseau et rénovation du frein de longitudinal:



Ils ont même pensé à mettre un petit taquet pour retenir la manette de blocage...

J'en profite aussi pour poser une chtite question :
Sur le diviseur qui va avec la fraiseuse, la broche possède un cône morse 4 mais permet aussi de monter un plateau d'adaptation pour un mandrin via un nez fileté.
Les cotes sont les suivantes:


Est-ce que ça correspond à une désignation standard ? Histoire que je lui trouve un mandrin adapté...
Merci d'avance pour vos éventuelles infos.