Bonjour,
il n'y a généralement pas de contacteur, pour piloter l' électrofrein, du moins sur un tour conventionnel a commandes manuelles...Il peux juste y avoir, intercalé dans le circuit, un contact auxiliaire du contacteur de broche par lequel passe le circuit d'électrofrein .
Sur un tour automatique, il peut y avoir , soit un relais, en général du type octal ou undécal (genre Finder série 60, enfichable ) soit un transistor de puissance genre BDX67,BDY90, 2N3055 (boitier rond avec semelle a bride percé de 2 trous )
Des tours Gornati et des Ursus ont en effet existé en version "tour automatique" (Automatisme basé sur un copieur qui suit le profil d'une pièce étalon, et sur de l'automatisme électromécanique , avec une cascade de relais, qui gère les avances, le démarrage de la broche, son freinage, etc ...) Mais, visiblement, ici, ce n'est pas un tour automatique (le panneau de commande serais bien plus complexe, et l'armoire serais bien plus grosse et comporterais toute une batterie de relais !)
si il n'y a qu'un fil arrivant a la bobine d'électrofrein, c'est que l'autre fil va à la masse et que le retour se fait par le bâti , comme en électricité auto, ceci est très courant sur les tours italien genre Gornati, Ursus...
une cause possible de non fonctionnement est une absence de continuité entre le bâti et le retour au pôle négatif du redresseur (a vérifier avec un multimètre pour trouver ou c'est coupé ) ...
Sinon, la bobine est coupé a l'intérieur (là, c'est plus génant, parce il faudra tout démonter, et parce la bobine de rechange pour un Leopard 180 sera sans doute introuvable ... là, il vaudrai peut être mieux réaliser le freinage avec un variateur de fréquence électronique avec freinage par injection de courant continu dans le moteur de broche ...ou un freinage par injection de courant continu réalisé avec des composants conventionnels et des relais temporisés)
Le plus simple sera peut être de se passer de freinage, ou de réaliser un freinage mécanique...