pinou29
Compagnon
Bonjour.FR3Dprint a dit:
C'est gentil de penser à moi.
Je suis allé faire un tour sur ton site, un grand tour d’ailleurs pour y être resté un bon moment, à l'heure où je fais ce post je ne suis pas allé voir les mises à jour mais ça va être fait d'ici quelques instants.
Je ne sais pas si c'est mon micro qui bugg mais le lien pour télécharger le fichier .hex ne peux pas être cliqué.
Mais c'était juste pour ma culture.
Je continue à suivre tout ça juste pour info pour l'instant, un jour peut-être je me lancerai dans la réalisation.
Bonne continuation.
Bernard.
syoctax
Apprenti
Salut,
Bravo pour ce projet et merci pour toutes les infos utiles sur ton site.
Comment tu fais pour remplir le bac de résine pile à la hauteur de la première couche? Tu fait le zéro de l'axe Z et ensuite tu rempli à l’œil jusqu’à ce que le liquide touche la grille?
Est-ce que le niveau de résine évolue durant l'impression? Normalement la surface ou tu projettes doit rester à peu près à la même hauteur, mais je me demandais si en durcissant ta pièce ne faisais pas un peu monter le niveau?
Bravo pour ce projet et merci pour toutes les infos utiles sur ton site.
Comment tu fais pour remplir le bac de résine pile à la hauteur de la première couche? Tu fait le zéro de l'axe Z et ensuite tu rempli à l’œil jusqu’à ce que le liquide touche la grille?
Est-ce que le niveau de résine évolue durant l'impression? Normalement la surface ou tu projettes doit rester à peu près à la même hauteur, mais je me demandais si en durcissant ta pièce ne faisais pas un peu monter le niveau?
FR3Dprint
Apprenti
@Bernard,
Bon difficile de tout dire ici, et pour le détail, mieux vaut visiter mon site.
En quelques mots:
Les lecteur cd/dvd utilisent des moteurs bipolaires (4 fils) de 20pas/tour (en général). Les 2 enroulements du MPP sont directement connectés à ma carte, prévue pour.
Le MPP est piloté en 1/2 pas afin d'avoir une meilleur résolution, et ce, quelque soit la machine. Sur la V2, cela permet de faire un 40e de tour à chaque demande. Comme la vis sans fin du modèle récupéré a un pas de 2mm, j'arrive donc à faire des couches de 50µm.
Cette carte peut-être directement utilisée avec d'autres moteurs, puisque le pont H L293D est prévu pour 500mA (de mémoire) et la version L293 jusqu'à 1A. Donc la même carte convient à plusieurs moteurs et d'avantage même, si on remplace le pont par un plus costaud (sans modif de carte, puisqu'il est monté sur support).
La lampe est celle d'origine du projo, sans modif (à part la butée de la mise au point pour projeter à 20cm). C'est tout l'intérêt de cette résine. Ainsi, le projo peu continuer à être utilisé en vidéo/jeux..., puis posé sur l'imprimante et imprimer.
Pour la montée et descente, c'est le logiciel qu'il y a dans le PIC qui gère. En automatique, il descend pour faire le plein de résin et revient se placer au bon endroit pour imprimer. Il y a un switch pour passer en manu. Dès lors il y a 2 commandes (monter et descendre) pour placer le support manuellement ou sortir la pièce du bain. J'ai d'ailleurs fait une modif sur ce point hier. Appui court, déplacement trés trés lent pour se placer avec précision. Appui long déplacement rapide pour sortir la pièce du bac, sans attendre.
Et hop ! Autre chose ?
pinou29 a dit:
Bon difficile de tout dire ici, et pour le détail, mieux vaut visiter mon site.
En quelques mots:
Les lecteur cd/dvd utilisent des moteurs bipolaires (4 fils) de 20pas/tour (en général). Les 2 enroulements du MPP sont directement connectés à ma carte, prévue pour.
Le MPP est piloté en 1/2 pas afin d'avoir une meilleur résolution, et ce, quelque soit la machine. Sur la V2, cela permet de faire un 40e de tour à chaque demande. Comme la vis sans fin du modèle récupéré a un pas de 2mm, j'arrive donc à faire des couches de 50µm.
Cette carte peut-être directement utilisée avec d'autres moteurs, puisque le pont H L293D est prévu pour 500mA (de mémoire) et la version L293 jusqu'à 1A. Donc la même carte convient à plusieurs moteurs et d'avantage même, si on remplace le pont par un plus costaud (sans modif de carte, puisqu'il est monté sur support).
La lampe est celle d'origine du projo, sans modif (à part la butée de la mise au point pour projeter à 20cm). C'est tout l'intérêt de cette résine. Ainsi, le projo peu continuer à être utilisé en vidéo/jeux..., puis posé sur l'imprimante et imprimer.
Pour la montée et descente, c'est le logiciel qu'il y a dans le PIC qui gère. En automatique, il descend pour faire le plein de résin et revient se placer au bon endroit pour imprimer. Il y a un switch pour passer en manu. Dès lors il y a 2 commandes (monter et descendre) pour placer le support manuellement ou sortir la pièce du bain. J'ai d'ailleurs fait une modif sur ce point hier. Appui court, déplacement trés trés lent pour se placer avec précision. Appui long déplacement rapide pour sortir la pièce du bac, sans attendre.
Et hop ! Autre chose ?
FR3Dprint
Apprenti
@Seb
Oui je remplis à l'oeil car je ne travaille pas au micron. Mais bon je peaufine quand même, bien sûr. Dans l'idéal, il faudrait que je me face un bac en plexi (puisque j'utilise de l'eau sous la résine pour les gros volumes) afin de voir les niveaux. Il faudrait également y faire un trou au niveau de la surface d'impression. La mise à niveau serait plus précise avec écoulement du trop plein dans un compartiment adjacent (avec bec verseur pour récup). Bref, le bac idéal, je l'ai en tête. Mais c'est secondaire et préfère passer le temps ailleurs, notamment a imprimer.
Ensuite, le support est placé en manu au bon endroit. Une butée mécanique aide (comme sur la V2).
Oui. Cependant, le niveau de résine est fait avec le support en position d'impression (donc immergé). Comme c'est lui qui fait le gros du volume, alors l'impression se fait à niveau quasi constant. La variation dépend donc du volume de la tige qui soutient le support de pièce (la grille). Avec un projection par le haut, il y a peu d'efforts. Donc un support ultra light fait l'affaire. Comme il est ultra light (ça fait un peu peur au début tant il est frêle !) la setion de ce support en regard de la surface du bac est ridicule. La variation de volume (en intégrant cette variation sur la hauteur) est si faible que sans effet sur la couche imprimée et donc sur la pièce finie.
Je me suis posé la même question. Hors la pièce polymérisée a tendance à rétrécir par rapport a son volume équivalent en liquide. J'imagine qu'il y a une phase de dilatation (car elle chauffe localement) puis commence à rétrécir. Mais c'est pas forcément vrai. D'ailleurs en cours d'impression,selon la durée d'éclairage et la forme de la pièce on a un ménisque en surface (donc le niveau devrait baisser). Mais cela dépend aussi de l'orientation de l'objet. Si je veux faire un cube et que je ne veux pas de ménisque sur la face supérieure, j'ai intérêt à l'incliner sur le modèle? Du coup il est nickel.
En espérant avoir répondu...
syoctax a dit:
Oui je remplis à l'oeil car je ne travaille pas au micron. Mais bon je peaufine quand même, bien sûr. Dans l'idéal, il faudrait que je me face un bac en plexi (puisque j'utilise de l'eau sous la résine pour les gros volumes) afin de voir les niveaux. Il faudrait également y faire un trou au niveau de la surface d'impression. La mise à niveau serait plus précise avec écoulement du trop plein dans un compartiment adjacent (avec bec verseur pour récup). Bref, le bac idéal, je l'ai en tête. Mais c'est secondaire et préfère passer le temps ailleurs, notamment a imprimer.
Ensuite, le support est placé en manu au bon endroit. Une butée mécanique aide (comme sur la V2).
syoctax a dit:
Oui. Cependant, le niveau de résine est fait avec le support en position d'impression (donc immergé). Comme c'est lui qui fait le gros du volume, alors l'impression se fait à niveau quasi constant. La variation dépend donc du volume de la tige qui soutient le support de pièce (la grille). Avec un projection par le haut, il y a peu d'efforts. Donc un support ultra light fait l'affaire. Comme il est ultra light (ça fait un peu peur au début tant il est frêle !) la setion de ce support en regard de la surface du bac est ridicule. La variation de volume (en intégrant cette variation sur la hauteur) est si faible que sans effet sur la couche imprimée et donc sur la pièce finie.
syoctax a dit:
Je me suis posé la même question. Hors la pièce polymérisée a tendance à rétrécir par rapport a son volume équivalent en liquide. J'imagine qu'il y a une phase de dilatation (car elle chauffe localement) puis commence à rétrécir. Mais c'est pas forcément vrai. D'ailleurs en cours d'impression,selon la durée d'éclairage et la forme de la pièce on a un ménisque en surface (donc le niveau devrait baisser). Mais cela dépend aussi de l'orientation de l'objet. Si je veux faire un cube et que je ne veux pas de ménisque sur la face supérieure, j'ai intérêt à l'incliner sur le modèle? Du coup il est nickel.
En espérant avoir répondu...
T@Z
Apprenti
Merci pour toutes tes explications et ton investissements, c'est un projet tres intéressant et d'une certiane manière tres abordable finaciérement et techniquement pour un (des) novices comme moi. 
Comme tu parles d'une résine "castable" pour la réalisations de moule deux questions me viennent à l'esprit:
-Est ce que ces résines supporterait le moulage avec des produits types polyester/vynilester pour la réalisation de master grâce à l'impression et ensuite de fabriquer les moules sur ces modéles? En effet la résolution d'impression est bien meilleur qu'avec l'impression classique.
-Quelles sont les limites dimensionnelles d'impression et par quoi sont elles définies? (volume du bac, zone d'impression maxi du vidéoprojecteur?)
Merci d'avance pour tes réponse et mes encouragements pour la bonne continuation dans ton super projet!
Comme tu parles d'une résine "castable" pour la réalisations de moule deux questions me viennent à l'esprit:
-Est ce que ces résines supporterait le moulage avec des produits types polyester/vynilester pour la réalisation de master grâce à l'impression et ensuite de fabriquer les moules sur ces modéles? En effet la résolution d'impression est bien meilleur qu'avec l'impression classique.
-Quelles sont les limites dimensionnelles d'impression et par quoi sont elles définies? (volume du bac, zone d'impression maxi du vidéoprojecteur?)
Merci d'avance pour tes réponse et mes encouragements pour la bonne continuation dans ton super projet!
FR3Dprint
Apprenti
@T@Z:
=> -Est ce que ces résines supporterait le moulage avec des produits types polyester/vynilester pour la réalisation de master grâce à l'impression et ensuite de fabriquer les moules sur ces modéles? En effet la résolution d'impression est bien meilleur qu'avec l'impression classique.
Castable signifie que cette résine est destiné au moulage de pièces métal. Ceci dit, cela correspond au procédé dit de moulage en cire perdu.
1) imprimer la pièce a réaliser en métal, avec de la résine castable (calcinable en fait).
2) mouler l'objet imprimé en résine, avec un plâtre de moulage.
3) mettre le moule en cuisson selon le cycle approprié. En plus de cuire le moule, cela va brûler la résine, qui laissera dans le moule la cavité de l'objet (en négatif donc), sans laisser de résidus, puisqu'elle est faite pour.
4) injecter le métal fondu dans le moule.
5) en fin de cylce, le moule peut-être ouvert afin de récupérer l'objet.
Les autres résines ne sont pas faites pour.
Ceci dit, certains on utilisé la résine "indus" qui tient 230°C et pour imprimer des moules. Ils ont ensuite coulé des pièces avec des alliages à faible température de fusion (alliages d'étain ou plomb).
Pour avoir travaillé avec les résines polyester et epoxy, je dirait qu'en imprimant un moule, après cirage, on devrait pourvoir couler une poly ou epoxy et récupérer l'objet sans soucis. D'ailleurs on réalise bien des moules en résine pour mouler... de la résine !
=> -Quelles sont les limites dimensionnelles d'impression et par quoi sont elles définies? (volume du bac, zone d'impression maxi du vidéoprojecteur?)
Il y a bien des limites. La taille du bac en est une, mais non problématique puisque il n'y a rien de plus facile que de faire un bac ou trouver une boite faisant office de bac, à la dimension voulue.
La limite la plus contraignante est la source lumineuse. Plus on s'éloigne de la source et plus l'énergie disponible à l'endroit d'impression est faible. Ceci sera compensé par une exposition plus longue. En s'éloignant on agrandit également la taille du pixel (pour un DLP) ou le diamètre du faisceau (pour un laser), ceci au détriment de la définition. Là difficile de compenser.
Si on cherche la précision, en se disant que l'on est susceptible d'imprimer de grosses pièces, mieux vaut investir d'entrée dans une source lumineuse et précise (par ex. un DLP HD bien lumineux, ce n'est pas un problème, juste une question de coût). Par ex. j'utilise sur la V2 un DLP de 1024x768. L'image que je projette ne fait que 82mm de large. J'ai fait ce choix, car la lampe est un peu naze et ai donc intérêt à projeter de prés (15/20cm). Cela veut dire que mon pixel fait en X 82/1024 = 80µm. Ce qui est déjà sympa mais ridicule face aux projecteurs plus modernes. A cette distance j'ai une durée d'impression entre 2 et 3s, selon ce que je souhaite faire. C'est donc acceptable et décide de m'en tenir là avec les moyens employés sur cette version et en rapport de mes besoins.
Ensuite, il faut savoir que si l'on souhaite imprimer des détails de la taille d'un pixel, il faut malgré tout augmenter la durée d'exposition selon les détails en question. Un détails sur une pièce pleine ressortira même avec 2s d'expo. Un détails isolé ailleurs dans l'image nécessitera plus de temps (d'énergie). En effet, les pixels en limite d'une forme pleine bénéficient de la lumière des pixels adjacents. Un détail isolé, perdu dans le noir ne sera pas dans cette situation et demandera un peu plus d'énergie. Le genre de chose que l'on apprends en utilisant.
=> -Est ce que ces résines supporterait le moulage avec des produits types polyester/vynilester pour la réalisation de master grâce à l'impression et ensuite de fabriquer les moules sur ces modéles? En effet la résolution d'impression est bien meilleur qu'avec l'impression classique.
Castable signifie que cette résine est destiné au moulage de pièces métal. Ceci dit, cela correspond au procédé dit de moulage en cire perdu.
1) imprimer la pièce a réaliser en métal, avec de la résine castable (calcinable en fait).
2) mouler l'objet imprimé en résine, avec un plâtre de moulage.
3) mettre le moule en cuisson selon le cycle approprié. En plus de cuire le moule, cela va brûler la résine, qui laissera dans le moule la cavité de l'objet (en négatif donc), sans laisser de résidus, puisqu'elle est faite pour.
4) injecter le métal fondu dans le moule.
5) en fin de cylce, le moule peut-être ouvert afin de récupérer l'objet.
Les autres résines ne sont pas faites pour.
Ceci dit, certains on utilisé la résine "indus" qui tient 230°C et pour imprimer des moules. Ils ont ensuite coulé des pièces avec des alliages à faible température de fusion (alliages d'étain ou plomb).
Pour avoir travaillé avec les résines polyester et epoxy, je dirait qu'en imprimant un moule, après cirage, on devrait pourvoir couler une poly ou epoxy et récupérer l'objet sans soucis. D'ailleurs on réalise bien des moules en résine pour mouler... de la résine !
=> -Quelles sont les limites dimensionnelles d'impression et par quoi sont elles définies? (volume du bac, zone d'impression maxi du vidéoprojecteur?)
Il y a bien des limites. La taille du bac en est une, mais non problématique puisque il n'y a rien de plus facile que de faire un bac ou trouver une boite faisant office de bac, à la dimension voulue.
La limite la plus contraignante est la source lumineuse. Plus on s'éloigne de la source et plus l'énergie disponible à l'endroit d'impression est faible. Ceci sera compensé par une exposition plus longue. En s'éloignant on agrandit également la taille du pixel (pour un DLP) ou le diamètre du faisceau (pour un laser), ceci au détriment de la définition. Là difficile de compenser.
Si on cherche la précision, en se disant que l'on est susceptible d'imprimer de grosses pièces, mieux vaut investir d'entrée dans une source lumineuse et précise (par ex. un DLP HD bien lumineux, ce n'est pas un problème, juste une question de coût). Par ex. j'utilise sur la V2 un DLP de 1024x768. L'image que je projette ne fait que 82mm de large. J'ai fait ce choix, car la lampe est un peu naze et ai donc intérêt à projeter de prés (15/20cm). Cela veut dire que mon pixel fait en X 82/1024 = 80µm. Ce qui est déjà sympa mais ridicule face aux projecteurs plus modernes. A cette distance j'ai une durée d'impression entre 2 et 3s, selon ce que je souhaite faire. C'est donc acceptable et décide de m'en tenir là avec les moyens employés sur cette version et en rapport de mes besoins.
Ensuite, il faut savoir que si l'on souhaite imprimer des détails de la taille d'un pixel, il faut malgré tout augmenter la durée d'exposition selon les détails en question. Un détails sur une pièce pleine ressortira même avec 2s d'expo. Un détails isolé ailleurs dans l'image nécessitera plus de temps (d'énergie). En effet, les pixels en limite d'une forme pleine bénéficient de la lumière des pixels adjacents. Un détail isolé, perdu dans le noir ne sera pas dans cette situation et demandera un peu plus d'énergie. Le genre de chose que l'on apprends en utilisant.
FR3Dprint
Apprenti
Tellement passionnant que la V3 arrive !
Le lecteur CD c'était pour voir ce que cela donnait et démontrer que pour pas un rond on pouvait faire une mini imprimante donnant de bons résultats.
Désormais, vu l'expérience de la V1 et de la V2, je prépare une V3 avec une mécanique tenant mieux la route. Meilleure déf verticale (comme la V1), plus de hauteur imprimable que la V2 et compacte.
Bon la méca ici ça vous connait. J'aurais pu faire classique, colonnes, guides à billes... et bien non, je reste sur de l'amateur. Le but étant que chacun puisse se monter un axe sans combat.
Le lecteur CD c'était pour voir ce que cela donnait et démontrer que pour pas un rond on pouvait faire une mini imprimante donnant de bons résultats.
Désormais, vu l'expérience de la V1 et de la V2, je prépare une V3 avec une mécanique tenant mieux la route. Meilleure déf verticale (comme la V1), plus de hauteur imprimable que la V2 et compacte.
Bon la méca ici ça vous connait. J'aurais pu faire classique, colonnes, guides à billes... et bien non, je reste sur de l'amateur. Le but étant que chacun puisse se monter un axe sans combat.
FR3Dprint
Apprenti
La version indus de cette résine a une dureté shore D 75. Lorsqu'elle a terminé de durcir elle est comme du caillou et usinable. Par contre elle n'aime pas les chocs. Il m'est arrivé de faire tomber des pièces au sol et de les casser. C'est toujours pareil, quand c'est dur et rigide ça casse au chocs. Je me demande si on ne pourrait pas l'armer avec du carbone en "poudre" (en admettant que ça existe). ceci dit les pièces en carbone sont aussi cassantes. Le kevlar est beaucoup mieux sur cet aspect.
En même temps, on ne fabrique pas des pièces pour taper dessus, mais on pourrait imaginer fabriquer des pièces dont l'utilisation l'exposerait aux chocs... mais bon, est-ce l'objectif des pièces de précision ? j'ai pas d'exemple qui me vient là...
En même temps, on ne fabrique pas des pièces pour taper dessus, mais on pourrait imaginer fabriquer des pièces dont l'utilisation l'exposerait aux chocs... mais bon, est-ce l'objectif des pièces de précision ? j'ai pas d'exemple qui me vient là...
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