copeaudacier
Compagnon
A deux ?
Deux (enfin 4) de mes confrères ont commencé comme ça. Pour le matos et pour les compétences, ça s'additionne.
Pour les galeres et les engueulades, ça se multiplie...
Tôt ou tard, il va arriver le casse pied du genre : je veux un rayon et pas un chanfrein et l'un des associés pensera que pour l'image de l'entreprise il faut refaire, alors que l'autre dira : des clients comme ça moins on en a, mieux on se porte.
Les seules associations qui durent sont celles ou Gilbert ne fait que du fraisage et Alain ne fait que du tour. Et quand il y a une divergence, chacun est responsable de son activité et libre d'assumer comme bon lui semble ses choix.
C'est le meilleur moyen pour garder ses amis.
Autre solution : un technicien et un banquier.
Le "directeur technique" fait tout. Il decide tout. Le "directeur financier" fournit le capital et ne s'occupe pas des choix techniques et commerciaux. En fin d'année, les deux associés se rencontrent et le technicien partage les gains avec son associé sur la base prevue.
Le plus difficile est d'estimer dès le depart, et c'est forcement arbitraire, la part du capital et celle de la main d'oeuvre dans la creation de valeur. Et toute remise en cause sera une source de divergences. Les problèmes viennent souvent des conjoints.
Deux (enfin 4) de mes confrères ont commencé comme ça. Pour le matos et pour les compétences, ça s'additionne.
Pour les galeres et les engueulades, ça se multiplie...
Tôt ou tard, il va arriver le casse pied du genre : je veux un rayon et pas un chanfrein et l'un des associés pensera que pour l'image de l'entreprise il faut refaire, alors que l'autre dira : des clients comme ça moins on en a, mieux on se porte.
Les seules associations qui durent sont celles ou Gilbert ne fait que du fraisage et Alain ne fait que du tour. Et quand il y a une divergence, chacun est responsable de son activité et libre d'assumer comme bon lui semble ses choix.
C'est le meilleur moyen pour garder ses amis.
Autre solution : un technicien et un banquier.
Le "directeur technique" fait tout. Il decide tout. Le "directeur financier" fournit le capital et ne s'occupe pas des choix techniques et commerciaux. En fin d'année, les deux associés se rencontrent et le technicien partage les gains avec son associé sur la base prevue.
Le plus difficile est d'estimer dès le depart, et c'est forcement arbitraire, la part du capital et celle de la main d'oeuvre dans la creation de valeur. Et toute remise en cause sera une source de divergences. Les problèmes viennent souvent des conjoints.