Il explique bien qu'il faut choisir des buses de gros diamètre (bien plus que les machines industrielles), pour que la petite pompe puisse exprimer au mieux sa puissance toute relative, qui se retrouvera, en partie seulement, dans le jet abrasif. C'est une question de couplage énergétique, le raisonnement se tient...
Ça signifie que le jet doit être assez gros et peu énergétique, mais ça a l'air de marcher quand même, lentement : il coupe de l'alu de 6mm, c'est pas si mal. Je me demande combien de watts se retrouvent effectivement dans le jet, sachant qu'un petit nettoyeur HP doit faire quelques centaines de watts. Est-ce que ça pourrait être intéressant comme outil d'amateur, malgré des performances un peu limites, c'est la question. Il y a aussi la question de la sécurité (à plus de 150 bars, ça craint), et des coûts d'exploitation (abrasifs)...
En tout cas, chapeau pour ce très beau hack, audacieux et bien analysé, fallait le faire !