Tour Julson 1201 sauvé du ferraillage

M

MIC_83

Compagnon
Bonjour à tous et toute,

Courant novembre de l'année dernière j'avais fait un reportage sur un petit tour d'établi Manhora ICI.
Comme promis à l'époque, je vous présente le deuxième tour acquis en même temps.

Ce dernier semblait avoir un ramage plus pimpant que le Manhora mais hélas, au fur et à mesure du démontage, la machine reflétait son mauvais traitement.

Un bout d'historique précisé par le ferrailleur :
Ce tour a été récupéré dans le garage d'une usine qui produisait de l'huile d'olive d'une marque disparue aujourd'hui sur Marseille. Il servait à réaliser des bagues et axes et des reprises de petites pièces pour un tas de mécanismes dispatchés dans l'usine. Il a du en voir de belles vu ses cicatrices et rafistolages/adaptations à la "va que je te pousse" ! Néanmoins, il avait fait ses preuves !
Il porte une plaque estampillée JULSON Type 1201, de fabrication simple mais fonctionnelle, la suite en images :

Sa remise en état s'est étalée de fin 2017 à décembre 2019 en tiers temps avec beaucoup de choses refaites dessus et améliorations pour le rendre à nouveau fonctionnel. Aussi, soyez patient, le post va être très long !

Part 1: Chez le ferrailleur, sous bâche.



Il est plus grand que le Manhora, posé sur un support "court sur pattes" avec un espèce de banc latté à l'arrière droit. Probablement fixé sur un socle en béton et contre un mur vu les platines contre percées de parts et d'autres !

Il dispose de tambours gradués d'un diamètre permettant des graduations en 0.01mm sur le transversal et chariot supérieur



Deux poupées mobile trainent sur le "banc" latté à droite mais une seule appartient à ce tour !




Il dispose d'une vis mère au milieu du banc avec une commande coté droit et une commande d'embrayage/débrayage sous la poupée fixe. La forme du banc est simpliste plat avec demi queue aronde à l'arrière.


Le jeu de poulies aluminium à 3 étages, largeur des gorges 13mm.



Le carter qui abrite la lyre et sa cascade de pignons.
L'arbre intermédiaire et son système de tension bricolé vraiment perché haut. Le moteur monophasé de 1.5kw avec un rapport de démultiplication important vu le diamètre des poulies concernées et une courroie longue comme un jour sans fin !







Le tableau des avances et filetages possibles ainsi que la disposition des roues suivant le choix.




L'inverseur de vis mère à trois positions.






Voilà le dilemme auquel j'ai été confronté !
 
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Compagnon
Part 2 : Vue d'ensemble du bestiau une fois rentré à la maison.

Là, on distingue mieux les proportions.







L’oxydation est très superficielle .





Des vis inadaptés sont montés de façon assez disparate et terriblement disgracieuses !








Le haut de la fonderie du verrou est cassée, l'alésage a un jeu abominable.

 
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Part 3 : Démontages partiel des ensembles de la machines.

a) le chariot supérieur :

Les formes sont proportionnées mais il a subit des "transformations" sur sa base.







D'origine la base était circulaire,, des parties ont été rajouté pour probablement une meilleure assise.



Le tambours est en acier massif et n'a pas souffert d'oxydation, la gravure reste lisible..





b) Trainard/transversal
Là, ça devient moins réjouissant, un morceau de fonte de la rainure circulaire en "T" qui supporte les vis de blocage en rotation du chariot supérieur est cassée et absente !

Pas de mauvaises surprises du coté de la vis et sa noix en bronze sur le transversal, quasiment aucun jeu !







c) Banc et vis mère.

Après dépose de la poupée fixe et tous ses "à coté" .












Le banc nu laisse apparaitre le montage de la vis mère et son système d'embrayage/débrayage avec sa commande.




C'est très basique, à voir quand je remettrais la machine en route.




La noix du trainard en bronze est "massive" et reste avec un jeu acceptable à ce niveau.

 
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Suite,


Détail de la commande avant dépose.




là, il faut chercher la vis pointeau qui se cache sur la périphérie du palier bronze avant de dévisser la partie centrale qui retient la vis mère.




Je me suis servi d'une pince à circlips pour déposer la partie centrale.




Le montage est verrouillé sur la partie lisse de la vis mère via une petite goupille conique.






La noix vu de profil.




La partie "baladeur" de l'embrayage




La vis mère et sa noix déposée




état d'usure sur la partie la plus utilisée.




Le" baladeur" et sa clavette en forme de "U".






Vu de face et apparemment appairé !
Sa composition : Acier allié dur, son état est plus que correct vu son âge et temps d'utilisation par des bourrins !




L'autre partie coté entrainement et l'axe et son patin qui viennent se loger dans la gorge du "baladeur" et la commande sur le principe d'un exentrique.




L'axe d'entrainement repose sur deux paliers bronze, le central est atteignable (huile) par un petit tube en laiton passant à travers la poupée fixe et accessible de l'extérieur.




Le palier extrême coté lyre, il a beaucoup de jeu, à remplacer. Il fait office de point de fixation de la lyre.

 
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Bonsoir Who, effectivement, il a du potentiel sous sa mine de déterré !

d) Dépose de la cascade de pignons et de la lyre.

Les pignons en aciers ne sont pas trop marqués sur les gros diamètres, sur les pignons de 20 dents c'est plus prononcés mais acceptable.







Les axes intermédiaires de la lyre ne présentent pas d'usure prononcée, ils étaient bien graissé !




Ah,, merde ! La lyre a morflé,
Ce n'est plus qu'un amas de brasure, on peut dire que la machine n'a pas été ménagé !





Le carter est vite déposé !

 
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e) Dépose de l'ensemble inverseur, broche et poupée fixe :

Écrou et contre écrous à crénaux, assez "classique"




Une butée à billes, là ça en devient moins banal !




Le chemin de roulement de la butée à billes avec un montage assez tarabiscoté !
Et un roulement à aiguilles derrière.




Le nez de broche est en standard pince W20 intérieur et Ø 36 sur la partie lisse.
Le filetage à un Ø de 34.7 mm et un pas de 4mm.




Une vu sur l'inverseur .




La broche, en parfait état, au moins cette partie là n'aura pas été négligée !




Surprises !
Montage mixte ensemble broche bague conique bronze devant et roulement à aiguilles "Nadella" à l'arrière avec une butée à billes !
Jamais vu ce montage, pourtant il semble d'origine !




La bague bronze avant, l'état de surface des portées est très correct.




L'inverseur sous un autre angle, les pignons bronze sont très marqués coté usure.




Le verrou qui bloque l'inverseur sur la position choisie
- Avant
- Neutre
- Arrière




L'axe traversant de l'inverseur à un pignon de 35 dents taillé dans la "masse" le pignon extérieur est claveté et se remplace suivant l'avance ou le pas souhaité.

 
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f) démontage de la Poupée mobile

Cette poupée, en dehors de son état déplorable, présente une adaptation bien réalisée.
En effet, cette poupée à l'origine était à levier et a été modifié pour être utilisée comme une poupée "classique" à un détail près :
quand on tourne la manivelle, la broche tourne avec !




Tout est réalisé très grossièrement.




La fonderie a subit des outrages et cassures bien réparées sur l'avant (niveau serrage de la broche) et n'a pas "tenue" coté logement du pied d'attache du levier.




Le système de réglage latéral : Simple et fonctionnel.




"L'éclaté" du montage avec deux demi noix fileté que l'on insèrent ou retirent suivant la configuration retenu.




Le pied dont la brasure n'a pas tenue.




Une petite reprise de la fonderie s'est imposé pour en faire quelle chose !





g) Dépose de l'ensemble arbre intermédiaire :

Zut, je n'ai pas tout pris en photos !
La semelle et la "gâché" en arc de cercle du verrou du tendeur de courroie.
Ce sera plus détaillé lors de sa réfection.






h) dépose du moteur et identification de ses caractéristiques :

Moteur monophasé deux sens de rotations 220v/1.5kw .
Le bestiau est lourd (17 kg) il a une cassure sur une de ses fixations, sans nuire à sa fixation.






Le câble a été raccordé et coupé à l'arrache, je verrais plus tard pour son raccordement.

 
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Compagnon
PART 4 : Réfections, usinages !

Après démontage un premier bilan peut être établi !
Pour le moment, rien d'insurmontable,, juste du temps à consacrer alors que j'en manque !
Mais avant de me lancer, je me suis "assuré" que le banc était encore dans un état "correct" sans employer les grands moyens !

a) Usinage d'un nouveau palier support de lyre :

On passe aux choses sérieuses, coupe d'un rond de bronze de 40mm.




Mise à la cote extérieure Ø 20mm



Alésage au Ø 11,7




Tronçonnage






Alésage à l'alésoir machine au Ø 12 H7.




Réalisation d'une gorge de graissage.






Perçages et lamages pour les logements des vis de fixation.






Le nouveau palier bronze remonté, la partie ou viens se fixer la lyre est 2mm supérieur à l'ancien modèle (18 à 20 mm), vu que je doit également refaire la lyre.




Perçage pour la lubrification.

 
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b) Après réalisation d'un plan, usinage de la nouvelle lyre :

Présentation de la lyre cassée en plusieurs points.
Méchant pâté coté fixation !




Là, la lyre à cédé sous l'effort en bout, car pas assez de "gras", la fonte ne supporte pas ces situations !






Gros plan sur les fissures




juste les axes à récupérer.





Après prise de cotes et plan, on passe à l'usinage ;
Coupe d'une barre d'acier à la longueur.




Blanchissage des faces.






Positionnement et perçage de l'alésage de fixation de la lyre qui sera la référence.






Alésage au Ø 20mm H7




Perçage et taraudage et chambrage qui recevra la vis de serrage






Réduction de l'épaisseur de la lyre des deux cotés.




Je lubrifie à l'huile entière d'où dégagement de fumées, heureusement que la porte du garage et la fenêtre sont ouvertes !

 
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M

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Compagnon
super intéressant !
vivement la suite !
Content que cela te plaises, merci à ceux qui suivent et m'indiquent qu'ils aiment le reportage !
Suite,

Usinage de la rainure en plusieurs passes, jusqu'à déboucher.






Chanfrein de la surépaisseur coté fixation.




rayonnage pour s'éviter les risque de coupures et apporter de l'esthétique.






Un trait de scie à la broche horizontale.






Montage de la pièce sur un étau trois axes pour usiner les deux pentes.






Un rayonnage en bout.




Un petit montage sur table rotative et détourage de la fixation.








Les deux lyres cote à cote.



 
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Compagnon
Suite :

Amménagement des dégagements nécessaires en bout de lyre pour permettre à cette dernière un réglage "au plus près" suivant le Ø de pignon monté sur l'axe venant de l'inverseur.






Mise en situation. Le plus petit pignon (20 dents engraine).





 
M

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Compagnon
c) réparation liaison petit chariot/transversal :


Première opération : virer toutes les vis posées alors qu'il n'y en a pas une d'identique !
Reprise des taraudages et pose de vis de qualité.




Positionnement sur le passage de la vis qui fixe la noix du chariot supérieur.





Chambrage à 90° pour y loger une vis à tête fraisée.




Reprise de la longueur de la vis sur le tour.




Fixation de la noix.




Repercé la contre plaque pour le passage de la tête de vis de fixation de la noix.






Les contres plaques remontés.




Vue sur la cassure d'une partie de la rainure circulaire en "T" .
Ils y sont allé de bon cœur sur le serrage du chariot supérieur, qui est la cause majeure de cette rupture.







L'idée est de supprimer la partie restante au raz de la partie cassée et de rajouter un "insert" en acier en tout point identique à l'existant assemblé par 6 vis noyées.

Néanmoins, avant il faut renforcer la liaison petit chariot/transversal qui est quand même faiblarde à ce niveau !
J'ai réalisé des plans cotés pour estimer sur dessins si la matière restante sera suffisante au niveau du renfort prévu qui va comporter un perçage, un chambrage sur les partie concernées.

La suite en images :
 
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V

Vapomill

Compagnon
Salut Mic !
Merci pour ce beau reportage !
Bon succès pour la suite de la restauration de cette petite machine.
Cordialement, Bertrand.
 
I

ilfaitvraimentbeau

Compagnon
mine de rien, tous ces usinages ça représente des tas d'heures de travail devant les manivelles !
bravo et bonne continuation !
 
M

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Compagnon
Bonsoir à tous et toutes,
Les gars, ce tour, je l'ai un peu "délaissé" car très pris par le Manhora à l'époque et un tas d'autres choses.
Quand je l'ai "repris en main" je l'ai apprivoisé et petit à petit, bien décidé à le remettre en état dans la limite de mes capacités et moyens à dispositions.

Salut Mic !
Merci pour ce beau reportage !
Bon succès pour la suite de la restauration de cette petite machine.
Cordialement, Bertrand.
T'inquiètes Bertrand, je te réserve la surprise mais je l'ai terminé !
mine de rien, tous ces usinages ça représente des tas d'heures de travail devant les manivelles !
bravo et bonne continuation !
Michel, niveau heures, il ne vaut mieux pas compter tellement j'en ai passé dessus !
Bon, pour la suite ça va etre "coton" mon clavier fais des siennes. !
 
M

MIC_83

Compagnon
Suite : Je reprends le texte tapé sur le dernier post pour ne pas perdre le fil !

L'idée est de supprimer la partie restante au raz de la partie cassée et de rajouter un "insert" en acier en tout point identique à l'existant assemblé par 6 vis noyées.

Néanmoins, avant il faut renforcer la liaison petit chariot/transversal qui est quand même faiblarde à ce niveau !
J'ai réalisé des plans cotés pour estimer sur dessins si la matière sera suffisante au niveau du renfort prévu qui va comporter un perçage, un chambrage sur les partie concernées.

La suite en images réalisées en parties sur L' Emco C8 qui me dépanne bien !
Première étape aménager un "chambrage" de 3 mm de profondeur coté queue d'aronde sous le chariot transversal.










Deuxième étape : Araser le retour intérieur de la rainure en "T" circulaire, profondeur 3 mm.




Point de centre et perçage de la base du petit chariot.






Perçage à 8 mm





Réalisation de deux vis sur lesquelles la tête à été réduite et usinée à la forme de la rainure.
Edit : J'ai retrouvé des photos de leurs réalisation, je les posterais plus bas !




Vu du chambrage .




Tournage d'une collerette qui fermera la rainure en reproduisant le "T" et aura la même dimension extérieure que celle d'origine.






alésage serré pour le passage du pivot du chariot supérieur.




J'ai raté la photo du tronçonnage !




Rectification à la Supra, de la collerette.

 
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Compagnon
Suite :

La collerette rectifiée à 3mm pile !




Une présentation des pièces concernées.




ça passe juste coté pivot du petit chariot.




Positionnement sur son emplacement définitif et contrôle de la hauteur, rien ne dépasse !




J'en profite pour reprendre la base du petit chariot qui est tout, sauf plane !




Centrage au comparateur dans le 4 mors sur le Haulin.




Dressage léger jusqu'à obtenir une portée continue.




Réalisation d'un cimblot épaulé pour un centrage parfait et un maintient de la collerette lors des opérations de perçages et taraudages. Premier perçage/taraudage/chambrage.




Répété 6 fois et pose d'une vis à chaque fin d'opérations faites à la suite.




dépose de la collerette pour m'occuper de l'axe épaulé et l'ajuster à la bonne hauteur.
Cet ensemble va lier le petit chariot via la vis tête fraisée.
Cette dernière sera serrée mais le jeu calculé permettra le pivotement du petit chariot.




Vu de dessous, ébavurage des perçages.




Les vis avec têtes en "T" en place, elles "glisses bien autour de la rainure.






Les vis de maintient de la collerette vu de dessous.




chambrage pour la tête de vis tête fraisée.

 
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Compagnon
Suite :

Découpe d'un morceau de rond de 45mm en acier allié.




tournage d'un axe épaulé glissant juste dans l'alésage du chariot transversal.




Les chariots assemblés après plusieurs reprises d'ajustages de la hauteur de l'axe épaulé.




L'épaulement totalement intégré dans le chambrage.




L'ensemble démonté.




Les pièces vues de profil et terminé pour cette partie coté usinages.

 
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MIC_83

Compagnon
d) Reprise de la tourelle portes-outils (provisoirement)


La personne qui a réalisé cette tourelle s'est compliqué la vie !
Son état laissant à désirer coté planéité, je l'ai re surfacé !






Le dessous, c'est une horreur, le mec est partie d'un cylindre et a souder à l'arc un morceau de ferraille préalablement mis au "carré". J'ai également repris le chambrage !

 
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gustavox

Compagnon
bravoi pour ce reportage, magnifique tour !

pas mal cette rectif ultra simple a fabriquer, un simple lapidaire direct sur le moteur et tu surfaces en tournant autour de la colonen a la main ?

cdt

gus
 
P

peps

Compagnon
Sympa ce reportage. On s'y croirait. Il va être mieux que neuf a la fin.
 
M

MIC_83

Compagnon
Bonsoir,
bravoi pour ce reportage, magnifique tour !

pas mal cette rectif ultra simple a fabriquer, un simple lapidaire direct sur le moteur et tu surfaces en tournant autour de la colonen a la main ?

cdt

gus
Le "simplement" me semble de trop.
La petite Supra est d'apparence "simple" mais l'assemblage colonne bati est ultra rigide et la descente de l'ensemble est monté sur vis micrométrique/butés à billes et j'en passe, le tambour gradué est au 0.01mm. Suivant la largeur de la surface à traiter, faut diamanter la meule souvent pour qu'elle morde

Oui tu passes le lapidaire complet en plusieurs aller-retour.
J'y ai rajouté un plateau magnétique sinus.
A+
Sympa ce reportage. On s'y croirait. Il va être mieux que neuf a la fin.
C'est le but, de vous faire vivre la remise en état la plus "vrais possible".
 
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champimatic

Compagnon
La première idée fut que les rafistollages ont été fait avec des vis et écrous ramassés au milieu de copeaux et autres tas de poussière. Sinon beau boulot , hate de voir la suite
 
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saquet

Compagnon
bonjour
beau reportage bien fluide, réparation faite avec l amour de l usinage
futur tour de musé, tu va plus oser faire de copeaux avec
 

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