c.phili a dit:
je sais tout ça mais quand comprendra-t-on que je m'en mer... en vacances
Bon j'en resterai là quant aux remarques sur les états d'âme des uns et des autres.
Pour du concret, il faut quand même savoir si ton pantographe doit avoir des capacités d'usinage conséquentes ou s'il s'agit simplement d'un pantographe pour dessiner sur une feuille de papier.
Pour une machine conséquente comme je l'ai dit il faut des articulations irréprochables du point de vue jeu et facilité de mouvement. Donc il faut à mon avis utiliser une paire de roulements à billes à contact oblique voire des roulements à rouleaux coniques. Pour faire les bras, il faut choisir des profilés fermés tubes ronds ou rectangulaires plutôt. Il faut prévoir des réglages de la longueur des bras si on veut faire varier le rapport d'homotétie. Pour la théorie le mieux c'est le lien wikipédia suivant.
http://db-maths.nuxit.net/CARzine/articles/art93/
Les points importants sont un parralélisme parfait deux à deux des côtés du parralélogramme déformable, cela veut dire des côtés égaux deux à deux, et un alignement parfait du point O avec le stylet de suivi du modèle et la pointe de la fraise et cela dans le plan horizontal comme dans le plan vertical. En effet dans son principe l'homotétie est gardée dans les deux plans. Du coup on voit que la rigidité de cette poutre virtuelle (réunissant ces trois points ) est capitale. C'est comme pour des volets ou des portes à deux batants. Lorsque les deux éléments sont en ligne l'espacement vertical entre les gonds participe à la tenue du batant externe ( pour qu'il ne frotte pas parterre ) mais quand les deux battants sont à l'équerre le batant intérieur est soumis à une torsion très conséquente. Or avec le pantographe il y a plus ou moins en cascade 4 axes de rotation. La difficulté augmente du fait qu'il faut pouvoir régler la longueur des bras.