Comme le dit Rebarbe, on fait en sorte que ses doigts soient en appuie, sur d'autres doigts.
Qu'on le fasse par expérience ou par formation, comme je l'ai appris, c'est la meilleure technique
et pas seulement le petit doigt.
Tous les doigts participent, pas forcément en même temps,
mais au cours d'un montage, on prend appui sur ceux qui sont disponibles et permettent
de former une sorte d'ensemble qui s'équilibre et se compense.
C'est devenu une habitude systèmatique pour moi, comme sûrement tous les horlogers,
a tel point que depuis longtemps, même pour visser une cruciforme en M6,
je tiens mon tournevis en appui sur d'autre doigts pour le présenter face au taraudage,
ne pas trembler et faire tomber la vis.