M
Guest
Bsr à tous
Afin de me faire une idée plus précise sur ce que l'on trouve actuellement avec IGBT et autres composants modernes (!), je suis , pour ma culture personnelle, arrivé là en terrain presque connu.... tout en bas du spectre électromagnétique.
http://webpages.charter.net/dawill/tmoranwms/Elec_IndHeat6.html
Le site, que je découvre tardivement, mérite apparemment un petit voyage.
On y découvre nombre de subtilités dont les précautions à prendre pour ne pas se faire griller (dans le temps, on mettait toujours une main dans la poche: ça peut aider de laisser le cœur hors du trajet du courant).
Les étages de puissance aboutissent donc sur un réseau d'adaptation (normal, boite d'accord réduite à sa plus simple expression) et le résonateur LC "utilisateur" dans lequel on va glisser la pièce à chauffer. 1000 °C ce n'est pas rien même si ça fera sourire les spécialistes du trempage et du recuit.
Néanmoins, chose intéressante, les valeurs de L et C sont spécifiées. Avec la bien connue formule de Thomson, on trouve F résonance = 63,7 kHz.
On n'est pas encore en RF mais l'effet pelliculaire s'applique bien sur. Cela donne la pénétration du courant et l'épaisseur impliquée dans un premier temps sur l'échantillon grâce au graphe précèdent INRS si je ne me trompe pas. Et donc le temps d'atteindre une température T avant que la conduction dans la pièce elle-même ne fasse son œuvre.
Bon courage pour la suite Cdlt
Afin de me faire une idée plus précise sur ce que l'on trouve actuellement avec IGBT et autres composants modernes (!), je suis , pour ma culture personnelle, arrivé là en terrain presque connu.... tout en bas du spectre électromagnétique.
http://webpages.charter.net/dawill/tmoranwms/Elec_IndHeat6.html
Le site, que je découvre tardivement, mérite apparemment un petit voyage.
On y découvre nombre de subtilités dont les précautions à prendre pour ne pas se faire griller (dans le temps, on mettait toujours une main dans la poche: ça peut aider de laisser le cœur hors du trajet du courant).
Les étages de puissance aboutissent donc sur un réseau d'adaptation (normal, boite d'accord réduite à sa plus simple expression) et le résonateur LC "utilisateur" dans lequel on va glisser la pièce à chauffer. 1000 °C ce n'est pas rien même si ça fera sourire les spécialistes du trempage et du recuit.
Néanmoins, chose intéressante, les valeurs de L et C sont spécifiées. Avec la bien connue formule de Thomson, on trouve F résonance = 63,7 kHz.
On n'est pas encore en RF mais l'effet pelliculaire s'applique bien sur. Cela donne la pénétration du courant et l'épaisseur impliquée dans un premier temps sur l'échantillon grâce au graphe précèdent INRS si je ne me trompe pas. Et donc le temps d'atteindre une température T avant que la conduction dans la pièce elle-même ne fasse son œuvre.
Bon courage pour la suite Cdlt