Bon a vrai dire je ne peu pas encore parler d'expérience, je l'ai acheté au mois de février alors que j'y connaissais pas grand chose en usinage.
Depuis je m'installe un atelier tout neuf et comme je bosse de 6h a 18h + le samedi matin, ça me laisse qu'au soir.
Je suis quasiment prêt à attaquer sérieusement mais ça ne veut pas dire pour cela que je n'ai encore rien fait avec cette machine, mais beaucoup d'essais.
C'est déjà pas mal comme machine, pour moi elle vaut largement son prix.
Je ne peut pas te répondre sue la possibilité de fraisage parce que j'ai quasiment pas essayé, j'ai directement séparé la fraiseuse du tour.
Sinon le fraisage se fait sur le chariot qui lui est rainure mais c'est comme si ont fraisait sur une table de 15 cm de large, donc si ta pièce est plus large, la fraise appuis dans le vide et ça m'étonnerais que l'on puisse avoir de la précision dans ses conditions, sur une table croisé normal, l'outils appuis toujours sur la table, faut pas être fraiseur pour comprendre ça.
Par contre au niveau des machines, j'en suis très content, on se retrouve avec un tour très robuste et une fraiseuse identique a la bf20 donc rien a regretter de ce coté, je pense que je serais pas vite limité, faut quand même se dire que c'est pas du gros matos industriel, mais pour nous les "bricoleur" c'est largement suffisant.
Je n'ai pas encore fait de filetage avec mais on dispose aussi de pignons à changer ce qui est génial sur ces machines machine c'est qu’elles sont vario, pas besoin de changer de courroie à tout bout de chant, suffit de tourner le bouton. Si c'était à refaire, je reprendrais le même genre.
Malheureusement je n'ai pas encore tout les accessoire, manque le mandrin 4 mors, le plateau, et les lunettes, donc je suis limité pour les longue pièces, il parait que c'est sur la route mais bon, ça fait partie d'un autre sujet.
Mon seul regret, la notice n'est pas en français.
Maintenant je compte sur ce forum pour avoir des explications quand j’en aurais besoin.
Je mettrais bientôt les photos que j’ai faite quand j’ai séparé les machines.
Philippe