Bonsoir et merci pour ces liens.
Il y a de quoi observer et c'est très instructif.
Cependant, j'observe que le principe est toujours identique... C'est à dire que c'est l'outil coupant qui se déplace sur une pièce fixe.
Dans ce cas, la qualité de la coupe est uniquement assurée par le guidage de la lame, lequel doit suivre une course en translation (plus ou moins) horizontale et une course verticale (pour assurer la pénétration dans la pièce). Il faut donc assurer un guidage 'double' sur le même ensemble.
Dans de nombreux cas, c'est le principe inverse qui est appliqué: L'outil coupant est fixe et on déplace la pièce pour l'usiner. Exemple : un tour ou une fraiseuse 'classiques', un scie circulaire sous table, etc. Il existe aussi des contre-exemples : CNC...)
Sur les machines que vous avez eu la gentillesse de me présenter, la lame de scie assure tous les mouvements nécessaires. Soient le mouvement de va-et-vient et le mouvement de descente verticale.
Or, un guidage 'précis' selon ces deux mouvements me semble difficile à obtenir sur un ensemble unique.
Mon idée est de séparer les deux mouvements nécessaires afin de les assurer individuellement du mieux possible.
On pourrait donc fixer la lame de scie sur un solide bâti, laquelle n'aurait plus qu'un mouvement vertical à assurer (donc assez facile à implémenter 'mécaniquement').
La pièce aurait, elle, un mouvement d'aller-retour (animé par une bielle, par exemple), mais guidé de manière précise par un classique guidage 'linéaire' (queue d'aronde et lardons, par exemple).
Ainsi, les mouvements utiles seraient partagés sur deux ensembles différents et peut-être plus simples à gérer.
Voilà. Ce n'est qu'une idée pour faire avancer le schmilblick, mais je suis sûr que je n'ai pas imaginé tous les problèmes annexes que ça pose...
Toutes vos remarques sont les bienvenues et je vous en remercie d'avance.
Amicalement, Champy