J'essaye de toujours noter sur les chutes la nuances, car si on fait juste confiance à sa mémoire...
Y'a quand même des indices pour reconnaitre grossièrement les nuances (surtout si on se limite à petite dizaine d'aciers et d'alu connues à l'atelier). Pour l'acier, par exemple, les étincelles au meulage. La dureté bien sur, et la fragmentation des copeaux permettent d'avoir aussi une petite idée (au moins d'éliminer certaines nuances) . Pour l'alu, les alus contenant du cuivre noircissent dans la soude caustique, et on les reconnait grossièrement à l'usinage (copeau filant pour les 7xxx et etat de surface très brillant, etat dégueu sur les 5xxx sans arrosage, etc...)