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... tu achètes 2 petit PC pro de bureau identique... si l'un tombe en panne en 3min tu change le PC et tu peux travailler comme si de rien n'était...
J'ai passé pas mal de temps à regarder les différentes solutions, mais je n'ai pour l'instant aucune expérience concrète, alors je me pose forcément beaucoup de questions. Je vois d'un côté des solutions à base de PC/Mach3 (par ex.) qui deviennent plus complexes avec de plus en plus des cartes ou modules dédiés à la gestion des axes, de l'autre des contrôleurs autonomes maintenant abordables qui semblent faire autant sinon plus, plus simplement (?).... Une solution PC demande de s'investir un peu plus au début pour acquérir les compétences nécessaires, pour faire les bons choix et comprendre toute la chaîne, mais quand c'est fait, on est définitivement autonome.
C'est une très belle structure, bien proportionné. je vois quand même un problème potentiel
sur le fait que tu fais l'impasse sur son massif en béton. Les machines outils de très grandes dimensions
sont composées d’éléments indépendants alignés et assemblés sur un massif en béton, les coefficients
de dilatation sont les même.
Dans ton cas tu risques d'avoir des variations d’écartement de tes glissières de "mur"
c'est variations vont à terme fusiller les patins et rails.
Je n'avais pas pensé à cette solution. J'avais regardé une solution de guidage qui laisserait un côté libre latéralement, et puis je suis revenu à une solution 'classique' avec deux guidages. En tout cas cela me laisse deux portes de sortie pour le cas où je rencontre vraiment des problèmes liés aux changements de T° :Il te manque un degré de liberté, une certaine élasticité de l'un des murs uniquement dans l'axe
de la poutre, en fait la triangulation d'un des murs est superflue. Et ce degré de liberté ne compromet en
rien la rigidité générale de ta machine.
Tu veux dire que le support des sur un côté pourrait 'glisser' un peu pour rattraper les différences dues par ex. à de la dilatation, et réduire l'hyperstatisme ? Je dois pouvoir encore intégrer cela dans le dessin des chariots. La difficulté serait d'éviter que cela se mette à prendre du jeu dans tous les sens. Un lamage assez précis avec un support en étiré ?... Cela peut se faire au niveau des patins en les montant sur 1 lame d'acier encastré
L'idée serait donc de recaler les axes pour le cas où la dalle aurait bougé ? Je pourrais faire cela au niveau de la liaison des tubes supportant les guidages X, qui seront calés au sommet des murs, avec des vis pointeau pour la mise à niveau et un joint d'époxy pour le calage, puis serrage. Cela sera démontable, donc je devrais pouvoir le reprendre au besoin.... le plus simple pour anticiper, sur l'un des murs, je me reverserais la possibilité de désolidariser
des points de scellement de la base, si tu installes tout sur des goujons avec un nivellement par écrous dessus dessous cela devrait être réversible.
Bien compris. "Notre tendance" naturelle est aggravée encore par les logiciels de CAO, la symétrie cela se fait en deux/trois clics et donc hop, c'est réglé !On voit effectivement beaucoup de machine qui ont l’allure de la tienne, mais c'est très hyperstatique, c'est notre tendance à concevoir symétrique. Alors que cumuler la rigidité latérale des 2 murs sur un seul et rendre l'autre compilant, c'est beaucoup plus rationnel.
Je vais regarder cela de plus près, je reviendrais sans doute avec des questionsSous Windows, j'aime bien cette solution:
http://www.cncdrive.com/UCCNC.html
interconnexion entre le PC et la motion controller par port ethernet:
http://www.shop.cncdrive.com/index.php?productID=817
Le problème est que tu ne vas pas t'en apercevoir, le déplacement sera aussi souple, mais la charge appliqué auou que la machine se bloque au moindre coup de soleil/froid,
là je ne comprends pas ton inquiétude, tous les efforts de motorisation sont dansCela aurait l'avantage de garder une liaison rigide entre les patins et le servo/pignon.
C'est pas faux. A méditer
Je dois me faire des noeuds dans la tête pour rien. Il faut que j'avance sur la réalisation de la machine, j'ai l'impression qu'à un moment donné, et sans expérience, on réfléchit mieux avec qq chose dans les pattes.là je ne comprends pas ton inquiétude, tous les efforts de motorisation sont dans
un plan complètement indépendant du degré de liberté transversal.
Tu as raison sur le principe, mais je ne peux pas faire comme cela : les guidages sont sur le côté extérieur des tubes (voir dessin dans le 1er post) et la surface plane de la résine est en fait un plan vertical. J'ai prévu de caler les tubes au milieu pour qu'ils ne bananent pas lors de la coulée de la résine, puis ils seront posés sans bridage sur la structure. Je pense (j'espère) qu'ils seront assez rigides (ép. 10mm) pour que la résine ne pète pas dans les manutentions.Bonjour,
intéressants ces vibreurs . Par contre, il ne faudra pas solliciter ton carré , puisque tu mets la résine avant même que ton carré soit bridé . J' aurais attendu qu' il soit en place et ensuite, j' aurais appliqué la résine . De ce fait, tu évites l' éclatement de la résine avant la pose des rails , dû à une mauvaise manip .
J'ai bien vu ça dans Mach3, d'où ma question sur UCCNC : il n'y a pas de réglage équivalent (ou bien je n'ai pas su le voir).Pour l' axe rotatif ou linéaire, c' est dans mach3 que tu vas le configurer . Dans configuration générale , tu as les axes X , Y , Z puis A ,B ,C tu choisis rotatifs
Oui cela respecte la norme, l'axe de A est parallèle à XOu est-ce qu'on considère que A,B et C _sont_ des axes rotatifs dans tous les cas ?
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