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maxjean2
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Je suis surpris de n'avoir vu nulle part le conseil d'utiliser du suif.
Le suif est à mettre à toutes les sauces dès qu'on usine l'aluminium (perceuse, scie . . . toupie) et il faut des outils à bois.
Tous les copeaux s'évacuent, aucuns ne restent collé à l'outil.
Le suif se met aussi pour la soudure (c'est plutôt une brasure), avec une baguette spéciale (je crois qu'elle est à base d'étain et de zinc)
On recouvre les surfaces à souder de suif.
On gratte avec une carde pour blesser l’aluminium et bien retirer l’alumine (ne pas oublier que l’alumine et beaucoup plus dur que l’aluminium et qu'il fond à une température bien plus haute), le suif est là pour empêcher l’aluminium de s’oxyder au contact de l’air.
On met les pièces en place et on chauffe par dessous avec un chalumeau (on cherche une température inférieure 660 °C , éviter les flammes trop chaudes, il vaut mieux une flamme large et bien balayer le zone à souder), je pense qu’il est bon d’interposer dessous une plaque en acier pour éviter que la flamme attaque l’alu, la plaque permettant de diffuser la chaleur.
Une bonne lampe à souder doit suffire.
Quand l’aluminium est à la température idéale, le suif commence à prendre une teinte brunâtre (au delà, il s’évapore), on approche la baguette qui fond et se diffuse comme pour une brasure de cuivre sur cuivre.
J'avais expérimenté cette méthode à l'Office de l'Aluminium à Paris, et les soudures (brasures) était tellement belles qu'on aurait dit que la pièce était taillée en un seul morceau.
Le suif est à mettre à toutes les sauces dès qu'on usine l'aluminium (perceuse, scie . . . toupie) et il faut des outils à bois.
Tous les copeaux s'évacuent, aucuns ne restent collé à l'outil.
Le suif se met aussi pour la soudure (c'est plutôt une brasure), avec une baguette spéciale (je crois qu'elle est à base d'étain et de zinc)
On recouvre les surfaces à souder de suif.
On gratte avec une carde pour blesser l’aluminium et bien retirer l’alumine (ne pas oublier que l’alumine et beaucoup plus dur que l’aluminium et qu'il fond à une température bien plus haute), le suif est là pour empêcher l’aluminium de s’oxyder au contact de l’air.
On met les pièces en place et on chauffe par dessous avec un chalumeau (on cherche une température inférieure 660 °C , éviter les flammes trop chaudes, il vaut mieux une flamme large et bien balayer le zone à souder), je pense qu’il est bon d’interposer dessous une plaque en acier pour éviter que la flamme attaque l’alu, la plaque permettant de diffuser la chaleur.
Une bonne lampe à souder doit suffire.
Quand l’aluminium est à la température idéale, le suif commence à prendre une teinte brunâtre (au delà, il s’évapore), on approche la baguette qui fond et se diffuse comme pour une brasure de cuivre sur cuivre.
J'avais expérimenté cette méthode à l'Office de l'Aluminium à Paris, et les soudures (brasures) était tellement belles qu'on aurait dit que la pièce était taillée en un seul morceau.