Bonjour,
C'est pour moi aussi une découverte.
Les freins hydrauliques dès 1920 à l'AV uniquement, AR est cdé par des tringles.
Le proprio, menuisier ébéniste de talent à la retraite, remet à niveau la voiture de son père
qui faisait le même métier, me demande d'apporter mon concours sur cette innovation de l'époque.
J'ai eu toutes les pièces en main;.Le concept est ahurissant.
Malheureusement les repères ne sont pas explicités.
@fafnir70 , le boitier hydraulique est placé parallèlement sur l'essieu AV, il est en bronze massif et composé d'un réservoir
intégré qui alimente le cylindre de pression. Le piston qui génère la pression est actionné par une crémaillère et
pignon qui assure la translation depuis le palonnier.
L'huile est distribuée par une canalisation 2 voies vers les pivots.
L'essieu est percé pour conduire l'huile (là ou conventionnellement on pourrait trouver l'axe d'articulation)
à la base d'un piston garni de cuir,( cylindre récepteur ) en liaison avec une tige de poussée, agissant sur une came
triangulaire qui écartera les mâchoires jusqu'au contact de la jante du tambour.
Le cylindre récepteur est intégré dans le pivot.
Donc pas de flexibles, pas de raccord tournant. Ouf!
Je ne sais pas si mon discours est clair !
Particularité de ce montage : Il n'y a pas de flasque support de mâchoires, celles-ci étant simplement
en appui sur le pivot , sur des axes, bien sûr . En somme, de freins bien aérés.
Mon ami voulait que je modernise les pistons, émetteur et récepteur, en remplacement les garniture cuir par
des coupelles ou joints toriques.
Au démontage, il n'a trouvé que de la graisse partout, il est convaincu que ce système fonctionne à
la graisse.
Nos opinions divergent.
Bonne lecture.