Re: Projet de cabine de peinture bien filtrée pour aérograph
Merci pour vos réponses.
Si j'ai pensé au charbon actif, c'est pour deux raisons :
- malgré le rejet à l'extérieur, les odeurs restent
- en hiver, ouvrir la fenêtre et bosser avec le vent froid qui s’engouffre, c'est moyen pour pleins de raisons
Je travaille dans une pièce bureau de 10m² dans laquelle j'ai également mon bureau de travail, mon poste de soudure et bientôt une petite fraiseuse d'établi. Malheureusement je suis loin d'avoir la place pour ta solution tente Moissan
. Mon soucis actuellement ce sont les odeurs et le fait que malgré l'aspiration de la cabine Wiltec, j'ai un dépôt de peinture sous forme de poussière sur tous mes meubles après une séance de 30 minutes d'aéro. J'aimerai bien au moins diminuer ce dernier problème.
Pour info cette cabine possède une ouverture de 0.41x0.35m et un débit théorique de 180m3/h. En pratique, si je passe une sous couche autour de 2 bars, je vois un gros nuage de poussière ressortir de la cabine. Si je peins à l'acrylique (autour de 1.3bar), je ne vois plus ce nuage mais ça sort toujours un peu.
Chlore, tel que je comprends tes calculs, mettons que j'ai une ouverture au plus juste de 0.5 x 0.35m (largeur d'un rouleau de filtre G4 ou F5 et hauteur suffisante pour les maquettes que je fais) :
Surface de l'ouverture = 0.5 x 0.35 = 0.175m²
Si j'ai bien compris, en entrainant un flux d'air à 0.5m/s on aurait donc besoin de : 0.5 x 0.175 = 0.0875m3/s soit 315m3/h.
Bien sur, sans perte, sans filtre etc.
Le ventilateur de 580CFM (soit 985m3/h) est pour l'instant surdimensionné.
Comment prendre en compte l'impact des filtres ?
Sur envirofluides par exemple, il y a un tableau qui donne des valeurs de dépression en Pascal (dépression initiale et finale). J'ai fais quelques timides recherches mais je n'ai pas compris comment utiliser ces données. Une idée ?