Bonsoir,
J'ai suivi avec intérêt parce qu'en amateur et sur ma petite machine, il m'arrive de faire des montages sur son plateau à trous, afin de procéder à des alésages, ou des reprises d'alésage.
Le sacrifice du cochonnet mentionné par @kawah2 n'est pas le plus difficile.
Il faut aussi avoir la cale calibrée à exactement la bonne dimension et surtout le mandrin cylindrique rectifié m, à queue conique, et s'adaptant dans la broche du tour.
Il y a aussi la « méthode des boutons » je crois qu’elle est décrite dans le Nadreau oui effectivement c’est page 105
il l’appelle « la méthode des tourillons »
mais c’est un système où il faut aussi des cales étalons
avec un comparateur à levier ou bien un système de revoie adaptable à un comparateur classique Comme ici
Bonjour,
Tu as un Nadreau modèle réduit @Dodore. Sur le mien, version papier, c'est en page 115.
Ce qu'il appelle "tourillon" et les tourneurs "boutons" est un cochonnet (en moins poétique et moins goûteux au four).
Sur un petit tour comme le mien je pourrais faire cette manivelle, en bien plus petit, en centrant les tourillons avec mon Palmer 125-150.
@SULREN
La page n’a pas d’importance pourvu qu’on ai le bouton le Nadreau que j’utilise c’est celui du forum
par contre pour moi , il y a une nuance entre « cochonnet » et « boutons »
le cochonnet est un autre nom du nez de reprise ou du centreur , il reste monté sur la broche du tour
les boutons sont positionnés sur la pièce avant d’être montée sur le plateau il peut y en avoir un seul ou plusieurs,
et ensuite ces boutons étant fixés sur la pièce on centre ces boutons avec un comparateur
Oui le centreur reste monté sur la broche.
Mais en matière de terminologie je n'ai aucune compétence et en plus mes livres de tournage sont d'âges très différents, 1921, 1939, 1958, 1961 jusqu'aux plus récents sans date (désormais non indiquée) et les termes ont évolué.
Les vieux livres sont encore utiles parce que les astuces sont éternelles.
Les termes peuvent aussi s'appliquer à plusieurs professions dans des sens légèrement différents.
Côté contre-pointe on monte les cimblots, et là aussi j'ai découvert ce terme sur les canons de 155 mm: accessoire permettant de matérialiser le centre du tube côté bouche et côté culasse, à partir de sa périphérie intérieure.....alors que sur le tour il matérialise la périphérie du tube à supporter à partir du centre de la contre pointe (kif kif en sens inverse).