Bsr ,
Penser à la capabilité de la pièce qui va avec le tolerancement .
Bonjour et oui...
Prendre en compte :
- La qualité de réalisation des modèles et moules. Leur intervalle de tolérance (IT)
- Les retraits qui dépendent de la famille de matériau (aluminium, cuivreux, ferreux ).
- Des départs d'usinage. Dans le monde industriel il s'agit de plots permettant un posage isostatique suivant les 3 axes sans se poser de questions sur des lignes d'usinage. Sinon il va falloir user du trusquin pour faire des "traits carrés" permettant de dégauchir la pièce sur les machines à faire du copeau.
- La "santé métallurgique". En général plus c'est épais et moins c'est bon... Il y a des risques de manque de matériau, en simplifiant des porosités plus ou moins grosses, et de mauvaises caractéristiques mécaniques dues à un refroidissement trop lent après coulée. Pour une interface seulement mécanique devant répondre à un niveau d'efforts de compression, quelques trous ou piqures ne posent pas problème. S'il s'agit d'avoir une étanchéité type joint de culasse ou une pièce sollicitée en traction/flexion si.
5mm comme déjà formulé 5mm me paraissent gras. Mais tout dépend des critères mentionnés ci-dessus. J'ai plus été habitué à 3mm dans le monde automobile en fonderie sable, et plutôt aux environ de 1,5 pour la fonderie alu sous pression.
Bien cordialement,
Edit : pour synthétiser, ces x mm sont fonction de la qualité géométrique du moule, des retraits mais tous les modeleurs en tiennent compte, de la faculté à dégauchir en usinage et des dimensions maxi de la pièce coulée, ainsi que de sa géométrie plus ou moins torturée. Et moins on a de surépaisseur et mieux on se porte.
