Bonsoir Guy
guy34 a dit:
salut,
c'est du farfelu tout ce qu'il y a de plus navrant ........ un taraud a son hélice ( valeur du pas ) pour le FAIRE AVANCER quand il tourne ;
s'il est immobile , c'est bien la pièce ronde QUI DOIT AVANCER DE CETTE VALEUR et pas d'autre chose ! tout laisse à penser que si toutefois ça mordait , il en résulterait un ou 2 tentatives de rayure CIRCULAIRE , pas plus !!!!!!
A++++
GUY34
Tout est relatif dans les mouvements !!! tout dépend à partir de quelle pièce on regarde.
Avant d'être aussi catégorique faut aussi re-situer l'objet dans son contexte. Cet article date des années 1950 ou 1960. A ce moment là, les tarauds étaient pentus sur une très grande longueur ( par rapport à ceux qui se vendent actuellement). C'était une question de qualité d'acier : l'ARS supporte moins que le HSS. Avec une pente plus longue, chaque copeau était plus fin, donc moins de contrainte sur l'outil !!!
Ma conclusion: Si le trou de passage de la tige à fileter est fait à la bonne distance de l'axe du taraud, et avec un taraud bien pentu, çà peut fonctionner. Un peu de suif aidera à la manœuvre.
Pour les droitiers, la main gauche appuiera sur la tige à fileter pour lui faire prendre le pas sur les premiers filets. Ensuite la tige fera son chemin tout seul , comme on fait actuellement manuellement avec un taraud ou une filière .
Les copeaux seront pris dans le suif dans les gorges du taraud et lorsque la gorge sera pleine, les copeaux descendront en étant poussés par les suivants. Enfin, c'est comme çà que je vois les choses.
Sur le dessin, il me semble qu'il manque un détail et/ou une précision: Si le taraud n'est pas orienté correctement, ça ne fonctionnera pas. De plus comme le taraud ne doit pas tourner ( se dévisser sous l'effort de coupe de la tige) il faudra l'immobiliser.