Salut,
je viens de voir ce sujet. Je suppose que c'est un système de mesure automatisé ; la pièce est peut-être posée à la main mais le reste est automatique.
Je remarque une chose : les palonniers ont une double fonction, dont l'une est discutable : générer une surface de référence oblique (OK) mais aussi le centrage (???).
Je pense que le centrage doit être fait de façon indépendante et spécifique.
(Je pense aussi qu'il manque un centrage automatique des ergots au-dessus des palonniers, mais c'est peut-être déjà prévu par ailleurs.)
Puisque l'automation n'est pas un problème, j'aurai 3 "touche" verticales, glissant horizontalement en synchro vers le centre, venant serrer (modérément) chaque pièce pour la centrer.
Un système à force constante permettrait de s'affranchir d'un réglage précis ou de faibles variations de diamètre (pièce emboutie/estampée ?)
Les zones de contact des touches de centrage peuvent être légèrement obliques pour créer une très petite force de plaquage vers le bas, ce qui évite de compter uniquement sur le poids de la pièce pour la maintenir et systématise les conditions de mesure.
Deux options pour prendre la pièce :
- soit sur le pourtour, s'il est concentrique au centre et son état de surface correct. On n'a pas centrage des ergots, cela doit être fait en parallèle.
- soit "prendre" les 3 ergot, si ce sont les références. Les 3 "mors" ont alors des sortes d'échancrures en 'V'. Avantage, ça centre automatiquement les ergots au-dessus des palonniers.
Une fois la pièce posée sur les 3 palonniers, le cycle est lancé et les touches verticales viennent centrer la pièce.
Si la pièce est si fine qu'une déformation est à craindre les touches son rétractées avant la mesure. Sinon, elles ne sont rétractées qu'à la fin du cycle.
À mon avis, une fois la pièce centrés sur les palonniers, le positionnement est isostatique et parfaitement référencé par rapport au plan (horizontal) du socle.
(Je ne suis pas mécano, donc avis à prendre avec du recul
)