Ce qui me surprends dans cette conception, c'est l'utilisation d'une meule boisseau utilisée sur la face. Probablement parce que le diamètre du moteur (> la meule) obligerait à le déporter ou à avoir une transmission par courroie vers un arbre porte-meule.
Habituellement les rectifieuses planes utilisent une meule cylindrique sur champ.
La meule boisseau verticale, il y a un réglage pour basculer son axe de quelques degrés. Ainsi la meule ne prends que d'un côté, du coup la meule creuse une vague. C'est l'avance progressive des rails qui fait la surface plate.
Le détail du reglage de basculement
Le détail des queues d'arondes
Ce soir, ma petite table etant terminée,
le moteur a retrouvé sa place, sur l'affuteuse de fer de dégau.
La meule boisseau verticale, il y a un réglage pour basculer son axe de quelques degrés. Ainsi la meule ne prends que d'un côté, du coup la meule creuse une vague. C'est l'avance progressive des rails qui fait la surface plate.
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Là, je ne la savait pas et je ne comprend pas trop comment ça évite les vagues, qui dit angle même mini , dit courbe , non?.
en plus elle doit prendre la forme de la partie a rectifier, devenir un peu parallèle a celle çi ?? bon! en même temps , un marbrier
Il y a ça aussi
Je pense à une meule cbn, sans doute pour l'affutage des fers au carbure. Je n'ai jamais vu mon pére l'utiliser et il n'est plus là pour le dire...
A noter que mon pére ne savait ni lire ni ecrire
Bonsoir,
L'ingéniosité des anciens est un patrimoine qu'il ne faudrait pas perdre. Aujourd'hui si les jeunes n'ont pas une CNC ils sont souvent perdus.
Par les anciens qui viennent les tirer d’affaire ! Je n’ai pas encore vu un smartphone faire des copeaux mais sûr que ça va venir comme le couteau Suisse